7signes que Dieu vous appelle au ministère. Par Makko Musagara Dieu utilise de nombreuses façons de dire aux individus qu’il les appelle à le servir.Beaucoup voient ces signes et sont confus de ne pas savoir quoi faire. Dieu n'adressa pas d'appel direct à Ésaïe. Ésaïe entendit seulement Dieu demandant Qui enverrai-je ? » L'appel de Dieu n'est pas seulement pour quelques-uns, il s'adresse à tous Qui enverrai-je et qui marchera pour nous ? — Me voici, répondis-je, envoie-moi. Ésaïe 68 » Cela veut dire simplement que parmi les appelés, peu écoutent de manière à être élus. Les élus sont ceux qui, entrés en contact avec Dieu par Jésus-Christ, ont changé leur attitude, et dont les oreilles, débouchées, perçoivent le murmure doux et subtil" répétant sans cesse Qui marchera pour nous ? » Il ne s'agit pas d'un appel direct à un individu, à qui Dieu disait Toi, il te faut aller ! » Dieu n'a pas du tout contraint Ésaïe. Ésaïe se tenait devant Dieu, il entendit l'appel, et il se rendit compte qu'il n'avait qu'un seul parti à prendre, une seule réponse à faire Me voici, envoie-moi. » Débarrassez-vous de l'idée que Dieu viendra vous chercher, avec des injonctions ou des requêtes. Quand notre Seigneur appela ses disciples, il n'exerça sur eux nulle appel, à la fois ardent et serein Suis-moi », s'adressait à des hommes en possession de tout leur sang-froid. Si nous permettons à l'Esprit de Dieu de nous amener devant Dieu, face à face, nous entendrons, comme Ésaïe, le murmure doux et subtil, et librement, sans crainte, nous dirons Me voici, envoie-moi. » L'appel de Dieu traduit la nature de Dieu J'entendis la voix du Seigneur disant Qui enverrai-je ? Ésaïe 68. » Quand nous parlons de l'appel de Dieu, nous oublions trop souvent ce qui est le plus essentiel, la nature même du Dieu qui nous appelle. Il y a bien des appels Celui de la mer, celui des sommets, celui des glaces polaires ; ils ne sont entendus que par ceux qui sont faits pour les entendre. Car pour entendre un tel appel, il faut quelque chose en nous qui s'y rapporte. L'appel de Dieu exprime la nature divine, et non la nôtre. Il y a certains accents de l'appel de Dieu qu'Il nous destine et que nous sommes seuls à percevoir. C'est Dieu même qui s'adresse à nous et à nous seuls sur tel point particulier. Il faut que nous puissions être en communion directe avec Lui. L'appel de Dieu n'est pas du tout l'écho de ma nature propre ; mon tempérament, mes tendances personnelles n'ont rien à y voir. Tant que je suis préoccupé de ma nature propre et de mes aptitudes spéciales, je suis incapable d'entendre l'appel de Dieu. Pour en être capable, il faut que je traverse, comme Ésaïe, une crise qui me transforme et accorde mon âme au diapason de Dieu. La plupart d'entre nous n'ont d'oreille que pour eux mêmes et n'en ont point pour Dieu. Ce qu'est en nous l'appel de Dieu L'appel de Dieu n'est pas un appel à Le servir de telle ou telle manière particulière ; mais je puis, pour moi, l'interpréter ainsi. Par mon contact avec Dieu, je me rends compte de ce que je voudrais faire pour Lui. L'appel de Dieu en nous, c'est avant tout l'expression de ce qu'Il est. La manière dont je puis le servir, c'est l'expression de ce qu'il y a en moi. Quand Dieu jugea bon de révéler en moi son Fils, dit saint Paul, afin que je puisse l'annoncer...», c'est-à-dire en somme exprimer le fait de Sa présence en moi. Le service de Dieu n'est pas autre chose que l'amour et l'adoration assez abondants pour déborder et se répandre au dehors. Mais, à dire vrai, Dieu ne nous appelle pas expressément à le servir ; c'est une toute petite chose qui vient de moi, c'est l'effet naturel de ma vie transformée, Dieu me met en rapport avec Lui, de façon que je puisse comprendre son appel ; alors, de moi-même, par amour pour Lui, je fais ce que je puis. Servir Dieu est l'humble hommage d'un être à qui Dieu s'est révélé. Quand il me communique quelque chose de Lui-même, cette énergie, qui est en moi comme en Lui, me permet d'agir avec Lui. Le Fils de Dieu s'étant révélé en moi, je le sers donc tout naturellement dans tous les détails de ma vie. Appelé à proclamer la Bonne Nouvelle Le Christ ne m'a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer la Bonne Nouvelle. 1 Corinthiens 117 » Paul déclare ici que l'appel de Dieu, c'est l'appel à proclamer la Bonne Nouvelle, c'est-à-dire la réalité de la Rédemption, dans la personne de notre Seigneur Jésus-Christ. Nous sommes portés à faire de la sanctification le but final de notre enseignement. Paul se sert de ses expériences personnelles simplement à titre d'exemple, mais ce n'est jamais pour lui le but dernier. Aucun texte dans la Bible ne nous ordonne de prêcher le salut ou la sanctification ; notre rôle est d'élever Jésus-Christ. Jean 1232 C'est une mauvaise plaisanterie que d'oser dire Jésus a souffert pour que je devienne, moi, un saint. » Jésus a souffert pour racheter le monde entier, et le placer, restauré, purifié, sans tache, devant le trône de Dieu. Le fait que la Rédemption peut manifester en nous son efficacité est une marque de sa puissance et de sa réalité, mais non pas son but. Si Dieu avait notre nature humaine, comme il serait fatigué, écœuré de nos incessantes prières pour notre salut, pour notre sanctification. Du matin au soir, nous l'accablons de nos requêtes Il nous faut ceci, il faut qu'Il nous délivre de cela ! Quand nous aurons touché le roc profond de l'Évangile, nous ne L'ennuierons plus de nos jérémiades. Paul n'avait qu'une passion proclamer la Bonne Nouvelle. Il acceptait avec empressement les chagrins, les déceptions, les persécutions, parce que tout cela contribuait à faire de lui un serviteur ferme et dévoué de l'Évangile. L'appel qui nous contraint Malheur à moi, si je n'annonce pas la Bonne Nouvelle ! 1 Corinthiens 916 » Prenez garde de ne pas boucher vos oreilles à l'appel de Dieu. Sans doute, quiconque est sauvé est appelé à rendre témoignage de ce fait. Mais ce n'est pas encore là l'appel à prêcher l'Évangile, il ne s'agit que d'un exemple dont on pourrait se servir au cours d'une prédication. Paul, dans ce texte, parles de la contrainte douloureuse qu'il a éprouvée, lorsqu'il s'est agi pour lui d'annoncer la Bonne Nouvelle. Le salut est une affaire toute simple où Dieu se charge de tout Venez à moi et je vous sauverai. » La croix de Jésus-Christ nous impose le salut. Mais pour être son disciple, il faut un choix que nous seuls pouvons faire. Pour que je sois, comme Paul, un véritable serviteur de Jésus-Christ, Dieu me façonne à son gré, sans me demander ma permission jamais. À son gré, Dieu fait de nous le pain rompu, le vin répandu. Être mis à part pour l'Évangile, c'est un déchirement, c'est une agonie Toutes nos ambitions broyées, tous nos désirs supprimés, tout en nous s'effaçant devant cet unique devoir Mis à part pour l'Évangile. » Malheur à celui qui essaye de marcher dans une autre direction, dès qu'il a entendu cet appel ! Quand Dieu vous a saisi, arrière tout autre appel ! Un texte de Oswald Chambers Ilse peut très bien que ce soit la miséricorde de Dieu qui le protège de douleurs, chagrins et échecs potentiels. Cet appel externe s’étend au-delà du ministère à d’autres Recherche Aller au contenu Publications Méditation Billet Informations prière Editorial Conférence Bienvenue En bref, qui sommes-nous ? Association In memoriam* L’historique L’objectif Les membres La LETTRE Les fêtes St Vincent de Paul Médaille

Lappel de Dieu se trouve partout dans la Bible et tous les serviteurs de Dieu sont appelés (en principe !). Ce n'est pas la société qui appelle mais Dieu lui-même. L'appel de Dieu est unique chacun le vivra différemment mais il est nécessaire car le ministère est difficile, il n'y a pas de promesses de salaire ou de bonheur. Nous sommes individuellement responsables devant

Note de l’éditeur Ceci est le cinquième chapitre de la série Union avec Christ. De même qu’il a appelé le monde à l’existence par la puissance de sa Parole Ps. ; Héb. de même Dieu fait naître son Église par la puissance de l’appel de l’Évangile 2 Thess. ; 1 Pierre Cet appel nous amène à l’union avec le Christ par la foi, comme un seul peuple sous le Dieu trinitaire Éph. L’Église est définie par notre appel à la communion avec le Christ et les uns avec les autres, comme Paul le rappelle aux Corinthiens à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints […] Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur. » 1 Cor. 9. La communion avec Dieu en Christ est le cœur du christianisme expérimental. La plénitude de la joie de l’Église est d’être en communion les uns avec les autres et avec le Père et le Fils 1 Jean En raison de notre union avec le Christ en tant que membres de son corps, l’Eglise Éph. 122-23, l’Esprit du Christ qui habite en Christ, la tête, habite dans tous ses membres Rom. L’Esprit qui habite est l’essence de notre communion avec le Père et le Fils 2 Cor. ; Éph. Jean Calvin a dit L’Esprit Saint est le lien par lequel le Christ nous unit effectivement à lui » Institution Comme le mari et la femme sont une seule chair », nous sommes un seul esprit » avec le Seigneur Jésus 1 Cor. Imaginez combien vous seriez proche d’un ami si votre âme même pouvait habiter en lui. Telle est l’intimité du Christ avec chacun de ses membres par le Saint-Esprit qui habite en lui. Ce même Esprit nous baptise dans l’unique corps du Christ, nous unissant dans la foi, la vie, le culte et le service 1 Cor. ; Confession belge, article 27. Il ne faut donc pas s’étonner que les sacrements de l’Église confirment et manifestent notre union avec le Christ et entre nous. Galates dit Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ ; vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. Galates 326 dit clairement que nous sommes sauvés par la foi, et non par aucune de nos œuvres, qu’il s’agisse d’œuvres morales comme l’observation des dix commandements ou d’œuvres cérémonielles comme la circoncision, le baptême ou la sainte cène voir aussi ; Pourtant, le verset 27 dit que ceux qui ont été baptisés ont revêtu le Christ » et, par conséquent, sont un en Christ ». Comment faut-il comprendre cela ? Ils doivent considérer leur baptême non pas comme une cause mais comme un signe de leur union avec le Christ par la foi et, en lui, leur union les uns avec les autres. Dans son Catéchisme de 1545, Calvin donne cette définition Qu’est-ce que sacrement ? C’est un témoignage extérieur de la grâce de Dieu, qui par signe visible nous représente les choses spirituelles, afin d’imprimer plus fort en nos cœurs les promesses de Dieu et nous en rendre plus certains.Q. 310 Si le sacrement du baptême lui-même nous unissait au Christ et nous sauvait, il serait inconcevable que Paul écrive que le Christ ne m’a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer l’Évangile » 1 Cor. Pourquoi prêcher l’Évangile si les résultats souhaités peuvent être obtenus simplement en baptisant tous les gens ? L’Évangile, et non le baptême, est la puissance de Dieu pour le salut » Rom. Calvin a dit il ne nous faut pas amuser au signe terrien pour là chercher notre salut, et que ne nous faut pas imaginer qu’il y ait là quelque vertu enclose, mais au contraire que nous prenions le signe pour une aide qui nous conduise droitement au Seigneur Jésus, pour chercher en lui salut et tout bien.Catéchisme, Q. 318 Ainsi, Paul nous avertit en 1 Corinthiens que nous pouvons recevoir les sacrements tout en étant incrédules, inconvertis et, finalement, rejetés par Dieu Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils ont tous passé au travers de la mer, qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer, qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ. Mais la plupart d’entre eux ne furent point agréables à Dieu, puisqu’ils périrent dans le désert. Notez comment il fait allusion aux sacrements de la nouvelle alliance en parlant du baptême, de manger et de boire. Les sacrements ne sauvent pas et ne peuvent pas sauver. Cela signifie-t-il que le baptême et la cène ne sont que des cérémonies de commémoration ? En aucun cas. Les apôtres exhortent souvent les croyants à se souvenir de leur baptême comme d’un signe de leur union avec celui qui est mort et ressuscité Rom. ; Gal. ; Éph. ; Col. ; 1 Pierre Le pain que nous rompons et la coupe que nous bénissons sont la communion du corps et du sang du Christ 1 Cor. Utilisés dans la foi, ils sont des moyens de s’approcher du Christ, d’accéder aux bienfaits de son œuvre expiatoire, de l’appliquer à nous-mêmes et de trouver la grâce de vivre pour Dieu Rom. Les sacrements sont un moyen par lequel le Christ, par l’action de son Esprit, s’offre à nous pour être reçu par la foi. C’est pourquoi Paul parle de recevoir du Christ une nourriture et une boisson spirituelles » 1 Cor. d’être baptisé par l’Esprit et de boire de l’Esprit 1 Cor. ainsi que d’être rempli de l’Esprit Éph. Calvin a écrit Si l’Esprit fait défaut, les sacrements ne peuvent rien accomplir » Institution De plus l’Esprit de Dieu à la vérité est celui seul qui peut toucher et émouvoir nos coeurs, illuminer nos entendements et assurer nos consciences, tellement que tout cela doit être jugé son oeuvre propre pour lui en rendre louange. Cependant le Seigneur s’aide des sacrements, comme d’instruments inférieurs, selon que bon lui semble, sans que la vertu de son Esprit en soit aucunement amoindrie.Q. 312 Lorsque l’Église s’assemble au nom du Christ et célèbre la sainte cène en souvenir de lui, nous avons une véritable communion ou une communion spirituelle avec le Christ. Notez la répétition du mot communion » du grec koinōnia communion, participation ou partage en commun » sous diverses formes dans 1 Corinthiens La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion au corps de Christ ? Puisqu’il y a un seul pain, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps ; car nous participons tous à un même pain. Voyez les Israélites selon la chair ceux qui mangent les victimes ne sont-ils pas en communion [koinōnoi] avec l’autel ? Que dis-je donc ? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose, ou qu’une idole est quelque chose ? Nullement. Je dis que ce qu’on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu ; or, je ne veux pas que vous soyez en communion [koinōnous] avec les démons. Que voulait dire Paul en disant que la participation au pain et à la coupe est la communion » au corps et au sang du Christ ? En partie, il voulait dire que nous sommes ainsi réunis en un seul corps » v. 17. Nous sommes en communion les uns avec les autres. Mais il y a plus. Calvin a dit Mais je vous prie, d’où vient cette communion koinōnia entre nous sinon que nous sommes unis avec Christ […] ? » commentaire de 1 Cor. Paul utilise le même langage de koinōnia à l’égard des adorateurs de l’Ancien Testament. Mangeant les sacrifices, ils communiaient à l’autel. Ils partageaient un repas avec Dieu sur la base du sacrifice sanglant et par l’intermédiaire d’un sacerdoce ordonné. L’Église partage un repas d’alliance avec le Seigneur, festoyant en sa présence de la grâce acquise par le sang. Paul utilise également le même langage que les adorateurs païens ils communient avec les démons. Ils adorent en présence d’esprits impurs. Paul dit que les adorateurs communiquent en fait avec les êtres déchus qu’ils adorent. Si nous participons avec les démons, c’est une forme d’adultère spirituel qui provoque la jalousie de Dieu v. 22. Il est évident que cette communion » est une réalité spirituelle de grande importance. Paul place ce culte païen en contraste direct avec la cène du Seigneur, voulant manifestement que nous les considérions en parallèle v. 21. Ainsi, nous voyons ce que Paul entend par la communion du sang du Christ » et la communion du corps du Christ ». Nous renonçons aux pouvoirs de Satan et nous sommes en communion spirituelle avec le Christ lui-même, crucifié pour nous, et maintenant ressuscité et exalté comme notre chef et souverain sacrificateur céleste. Nous nous régalons des bienfaits de sa mort expiatoire et de la puissance de sa vie infinie. Calvin a dit que la cène est un banquet spirituel, où le Christ s’atteste être le pain vivifiant, dont nos âmes se nourrissent jusqu’à la véritable et bienheureuse immortalité [Jean » Institution Apprécions les sacrements comme des précieuses ordonnances de Dieu » à utiliser par la foi en Christ. Si nous les utilisons comme des hypocrites, chez qui le simple symbole éveille l’orgueil », notre confiance est mal placée, et les symboles physiques sont vides. Mais si nous les recevons comme ceux qui sont unis au Christ par la vraie foi, nous voyons les promesses qu’ils présentent de la grâce du Saint-Esprit » commentaire de Calvin sur Gal. et, par la foi, le Christ habitera de plus en plus dans nos cœurs Éph. Cet article a été publié à l’origine dans le Tabletalk Magazine.

Celuique Dieu appelle à son service éprouve de la compassion envers celles et ceux qui souffrent, les pauvres, les étrangers, celles et ceux qui ne connaissent pas le Christ. -> une joie profonde Cette allégresse est celle qu’éprouvaient les disciples d’Emmaüs en remontant vers Jérusalem, pour annoncer à leurs compagnons qu’ils avaient vu le Seigneur ressuscité. La Foi en Dieu comprend quatre points l'existence de Dieu,Sa Souveraineté et Son Pouvoir, Sa Qualité Divine, Ses Noms et Ses Attributs. Ce qui témoigne de l'existence de Dieu sont la Fitra ,la raison, la révélation, le Coran et la Sunna. a La FitraQuant aux signes de la Fitra prouvant l'existence de Dieu le Très-Haut ; c'est le fait que chaque être ait été conçu avec la Foi en son Créateur, sans pensée ni science préalable. L'être ne se dépossèdera de ce que la Fitra implique qu'après intervention de certains facteurs sur son le Prophète - Que Dieu lui accorde Sa Grâce et Sa Paix - " Il n'y a pas un enfant qui naisse sans la Fitra, ce sont ses parents qui en font un Juif, un Chrétien ou un Zoroastrien " Al Boukhari b La raison Quant aux preuves de l'existence de Dieu par la raison Les créatures connaissent une antériorité et une postériorité. Elles ont nécessairement un créateur qui leur a accordé l'existence , du fait qu'elles ne peuvent se créer elles-mêmes ni exister par hasard, et qu'avant leur existence, elles étaient inexistantes. Donc, comment peuvent-elles être créatrices ? Il est impossible d'exister par hasard car, pour tout accident il faut une cause. Leur existence au sein d'un système aussi merveilleux, d'une coordination harmonieuse, d'un rapport homogène et cohérent entre les causes et leurs effets, puis entre les êtres eux-mêmes, s'oppose catégoriquement à une existence hasardeuse. Par ailleurs, l'existence par le hasard ne peut-être régie à la base. Cela dit, comment peut-elle se maintenir et évoluer régulièrement ? Donc, si les créatures ne se créent pas elles-mêmes, et si ce n'est pas le hasard non plus, elles se rendent compte qu'elles ont un créateur, qui n'est autre que Dieu, le Seigneur des mondes. Dieu le Très Haut a mentionné cette preuve rationnelle, cet argument péremptoire lorsqu'Il dit "Ont-ils été créés sans personne, ou bien sont-ils eux, les créateurs ?[Sourate 52. At-Tur. Verset 35] Cela signifie qu'ils n'ont pas été créés par autre chose qu'un créateur et qu'ils ne sont pas eux-mêmes leur propre créateur. Il s'avère que leur créateur ne peut être que Dieu le Très Haut. À ce propos, lorsque Jabir ibn Mu'tam entendit le Messager de Dieu réciter ces versets "Ont-ils été créés sans personne, ou bien sont-ils eux-même les créateurs ? " Ont-ils créé les cieux et la terre ? Non, ils ne veulent pas de certitude . Ont-ils près d'eux les trésors de ton Seigneur, ou sont-ils eux les intendants ? [Sourate 52. At-Tur. Verset 35-37] Jabir , ce jour-là, était polythéiste. Il disait "Mon coeur était près de s'envoler, c'était la première fois que la foi s'installa dans mon coeur." Al boukhari Nous allons donner un exemple explicite Si une personne te parle d'un immense palais, entouré de jardins, parmi lesquels coulent des ruisseaux ; un palais rempli de couches et de lits, paré de toutes sortes de décorations et d'accessoires, puis te dit "Certes, ce palais dans toute son intégralité s'est donné l'existence ou bien il est apparu comme cela, par hasard, sans cause provoquant son existence" Tu te serais sûrement empressé de nier son propos et de le démentir, puis tu aurais jugé ses paroles de stupidités. Est-il donc permis, après cela, de concevoir que cette attitude, son magnifique et merveilleux agencement se soit donné existence, ou bien qu'elle existe par hasard, sans auteur ? c La révélationTous les Livres Révélés affirment l'existence de Dieu. Les préceptes qu'ils contiennent, destinés au profit de la création sont autant de preuves que tout cela provient d'un Seigneur et Maître doué d'une Infinie Sagesse et qui a connaissance des affaires de Sa Création. Egalement les informations qu'ils véhiculent concernant l'univers, dont la réalité atteste la véracité, sont autant de Signes prouvant leur provenance d'un Seigneur capable de donner existence à tout ce qu'Il a mentionné dans Son Livre. d Le Coran et la Sunna Quant aux preuves de l'existence de Dieu le Très Haut par le Coran et la Sunna, elles sont de deux sortes 1/ Nous entendons et nous assistons aux réponses en faveur de ceux qui implorent le Seigneur et l'appel au secours des affligés. Ce sont là autant de signes convaincants de l'existence de Dieu. Dieu le Très Haut dit "Et Noé, lorsqu'il Nous appela, Nous lui avons répondu."Sourate 37. Les rangés As-Saffat Verset 75 "Lorsque vous invoquez votre Seigneur, Il vous répond [...]"Sourate 8. Le butin Al-Anfal Verset 9 Dans le recueil authentique d'Al Boukhari, selon Anas Ibn Malik "Un homme de la campagne entra un vendredi dans la mosquée alors que le Prophète prononçait un sermon, il lui dit "Ô Messager de Dieu, nos biens ont été anéantis, nos familles ont faim, implore Dieu en notre faveur." Le Messager leva les mains et implora, voilà que des nuages tels des montagnes surgirent ; le Messager était encore sur sa chaire minbar, lorsque nous vîmes les gouttes de pluie glisser le long de sa barbe. Le vendredi suivant, le campagnard, ou un autre, se présenta et dit O Messager de Dieu, les constructions ont été détruite, nos biens submergés, implore Dieu pour nous. Il leva les mains et dit "Seigneur, sois pour nous et non contre nous". Dès qu'il leva ses yeux, les nuages se dissipèrent." La réponse à ceux qui implorent ne cesse d'être attestée jusqu'à nos jours, pour ceux qui ont recours avec sincérité à l'aide de Dieu le Très Haut, dans les conditions requises. 2/ Les signes ou miracles, produits par les Prophètes mu'jizat auxquels ont assisté bon nombre de gens, ou en ont entendu parler, sont des arguments convaincants, prouvant l'existence de Celui qui les envoya et qui est Dieu le Très Haut. Certes, les cas dépassant les limites humaines sont l'intervention d'Allah pour soutenir et assiter les Prophètes dans leur exemple Le miracle de Moïse [Moussa] au moment où Dieu le Très Haut lui ordonna de frapper la mer de son bâton. Il frappa celle-ci, qui se fendit en douze voies sèches et les parois d'eau entre elles étaient comme des montagnes. Dieu le Très Haut dit "Nous avons révélé à Moïse de frapper la mer de son bâton, la mer se fendit ; chaque séparation était telle une énorme montagne." [Sourate 26. Les poètes As-Shuaraa. Verset 63] Deuxième exemple Le miracle de Jésus [Issa] , ressuscitant les morts, en les faisant sortir de leurs tombes, avec la permission de Dieu. Dieu le Très Haut dit à son sujet "[...] Et ressuscite les morts avec la permission de Dieu [...]"Sourate 3. La famille d'Imran Al-Imran . Verset 49 Allah dit aussi "[...] Et lorsque tu ressuscitais les morts avec ma permission [...]" Sourate 5. La table servie Al-Maidah . Verset 110 Troisième exemple Attribué à Muhammad lorsque les Quoraych lui demandèrent d'accomplir un signe, le Prophète leur montra la lune et voilà qu'elle se fendit en deux . Des gens avaient assisté à ce miracle. Dieu le Très Haut dit à ce sujet "L'heure approche et la lune se fend, et s'ils voient un signe,ils l'esquivent et disent, c'est encore de la magie."[Sourate 54. La lune Al-Qamar. Verset 1] Donc, ces signes ou miracle évidents que Dieu le Très Haut a réalisés pour soutenir et assister Ses Messagers, prouvent d'une manière absolue Son existence. Posted on Friday, 07 January 2011 at 225 PMEdited on Tuesday, 22 February 2011 at 318 PM LorsqueDieu prendra en charge votre sécurité, il vous donnera un esprit d’audace pour vous permettre d’aller là où les autres ne peuvent pas aller. Même si vous traversez la vallée la plus sombre, vous ne craindrez aucun mal, car vous saurez que les anges de Dieu sont avec vous. 7 Signes indiquant que vous avez la sécurité de Dieu.

Dialogue entre Dieu et Moïse Dans l’appel de Dieu pour notre vie, il y a toutes sortes de questions que Dieu aimerait discuter avec nous. Dans la vie de Moïse se trouvent des pistes vraiment intéressantes. Peter Höhn Auteur Dans Exode 3 et 4, lors de l’évènement du buisson ardent, Moïse est appelé à conduire le peuple d’Israël de l’esclavage en Égypte au pays promis. Dieu explique à Moïse, dans une longue discussion, le pourquoi et le comment de Ses commandements. On y découvre sept points clés et sept engagements de Dieu, qui peuvent nous éclairer au sujet de notre appel. Ils nous servent de repères pour l’avenir et l’affermissement de notre appel » 2 Pierre 1 10. 1. Qu’est ce qui m’attire ? Moïse dit Je veux faire un détour pour voir quelle est cette grande vision, et pourquoi le buisson ne se consume point. » Exode 3 3 Moïse est captivé par le buisson ardent et il s’en approche. Par cette démarche, il nous enseigne symboliquement la première étape dans le cheminement pour découvrir notre appel. Cela nous renvoie aux questions Qu’est-ce qui attire mon regard? Qu’est-ce qui retient mon attention et ma curiosité ? Y-a-t-il des sujets et des aspects de ma vie qui m’interpellent, de sorte que je m’implique encore plus volontiers dans un projet spécifique ? 2. Suis-je totalement disponible pour Dieu ? L’Éternel vit qu’il se détournait pour voir; et Dieu l’appela du milieu du buisson, et dit Moïse ! Moïse ! Et il répondit Me voici ! » Exode 3 4 La deuxième étape consiste à reconnaître que ce n’est pas le buisson ardent » qui est déterminant, ni les choses qui me fascinent dans la vie, mais au contraire, qu’il s’agit d’entendre et d’écouter Dieu au travers d’elles. Il m’appelle et Il s’adresse à moi personnellement. Pour montrer notre disponibilité, nous pouvons enlever symboliquement nos chaussures et dire Me voici ! ». Lorsque nous nous rendons disponibles pour Dieu, Il nous montre ce qui touche Son cœur par rapport aux humains Exode 3 7-10 et comment Il veut nous faire participer à Son œuvre libératrice. Ceci nous conduit à la prochaine question… 3. Qui suis-je ? Moïse dit à Dieu Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d’Égypte les enfants d’Israël ? » Exode 3 11 La prochaine question, que Dieu veut éclaircir avec nous – et nous avec Lui – est celle de notre identité. Mais qui suis-je pour… ? Qui suis-je vraiment ? Il y a aussi la question de notre estime de soi. Le calme revient en nous lorsque nous pouvons entendre Dieu nous répondre de cette manière Je serai avec toi. » Lorsque nous acceptons cette affirmation sincèrement et de tout notre cœur, il n’y plus besoin de se comparer aux autres, de se sentir mal à l’aise ou, comme dans le cas de Moïse, de rester paralysé par nos échecs passés. Au contraire, nous expérimentons comment Dieu se tourne vers nous, pardonne nos échecs et regarde vers l’avant avec nous. Nous commencerons alors à nous réjouir – en Dieu, et à voir ce qu’Il fait de nous et comment Il nous conduit. Allons maintenant à la prochaine question… Pour continuer la lecture passe à la page suivante

Lessignes et sceaux de l’union. Par Joel R. Beeke — 30 mai, 2022. Note de l’éditeur : Ceci est le cinquième chapitre de la série Union avec Christ. De même qu’il a appelé le monde à l’existence par la puissance de sa Parole ( Ps. 33.6-9 ; Héb. 11.3 ), de même Dieu fait naître son Église par la puissance de l’appel de l Verset mémoire Moïse et Aaron se rendirent ensuite auprès de Pharaon, et lui dirent Ainsi parle l’Eternel, le Dieu d’Israël Laisse aller mon peuple, pour qu’il célèbre au désert une fête en mon honneur » — Exode 51. Texte choisi Exode 51-16 – 61 Comme Dieu le voulait, les enfants d’Israël crurent les signes que Moïse et Aaron leur montrèrent. Ils furent reconnaissants de ce que l’Éternel avait vu leurs afflictions, et ils lui rendirent grâce pour sa miséricorde. Comme nous allons le voir, Pharaon n’eut pas la même réaction quand les signes et les miracles de l’Éternel, le Dieu d’Israël lui furent montrés. La lutte avec Pharaon commença avec la première demande qui figure dans notre verset mémoire. La réaction de Pharaon à cette demande fut le mépris parce qu’il considérait que le dieu soleil des Egyptiens était celui qui était puissant. Il décréta que les Israélites auraient désormais à faire leurs briques sans l’utilisation de la paille. Les inspecteurs reçurent l’instruction d’exiger que le nombre de briques faites chaque jour ne pouvait pas être inférieur ne serait-ce d’une brique. Le peuple se répandit dans tout le pays d’Egypte, pour ramasser du chaume au lieu de paille » Exode 512. Le résultat de cette première demande de liberté fut que leurs tâches furent en réalité pratiquement doublées. Leurs inspecteurs devinrent cruels ; le peuple fut battu, et même empêché de vénérer Dieu. Pharaon répondit Vous êtes des paresseux, des paresseux ! Voilà pourquoi vous dites Allons offrir des sacrifices à l’Eternel ! » Verset 17. Mais en passant par ces expériences amères le peuple était préparé afin d’apprécier sa liberté le jour où finalement elle viendrait. Ce fut une épreuve de foi, non seulement pour Moïse et Aaron qui devaient affronter Pharaon, mais aussi pour tous les Israélites. Pharaon représente Satan, et la terre d’Egypte représente sa domination du péché et de la mort sur le monde entier dans lequel l’humanité est en esclavage. De même, nous devrions apprécier le privilège d’être libérés de la puissance du péché et de la mort et d’être intégrés au sein de la famille de Dieu. Face à la demande légitime du Dieu vivant et vrai et à la formidable démonstration de miracles qu’il était bien Dieu, et que Moïse et Aaron étaient ses représentants, Pharaon endurcit son cœur. Dieu utilisa Pharaon comme un instrument en l’obligeant à un résultat contre lequel il endurcit son cœur dans son refus. Pharaon rejeta Dieu et refusa la juste obéissance et ainsi sa conscience et son cœur furent inévitablement endurcis Romains 917-24. Le peuple fut grandement troublé de même que Moïse et Aaron concernant la réaction de Pharaon à la demande de Dieu et au châtiment ultérieur de son peuple. Ils leur dirent Que l’Eternel vous regarde, et qu’il juge ! Vous nous avez rendus odieux à Pharaon et à ses serviteurs, vous avez mis une épée dans leurs mains pour nous faire périr » Exode 521. Moïse implora Dieu dans la prière afin qu’il lui montre ce qu’il devait faire en réponse au mal fait depuis qu’il était allé auprès de Pharaon afin de libérer son peuple. La réponse à la première prière de Moïse ne tarda pas à venir. Dieu voulut assurer à Moïse qu’il parviendrait à la délivrance de son peuple, et que rien ne pourrait s’y opposer. L’Eternel dit à Moïse Tu verras maintenant ce que je ferai à Pharaon ; une main puissante le forcera à les laisser aller, une main puissante le forcera à les chasser de son pays » Exode 61. & . 319 465 388 750 600 330 583 476

les signes de l appel de dieu