Jai contemplĂ© longuement ma vie, face Ă  la mer. J’ai marchĂ© sur cette plage, regardĂ© le soleil pĂąle se drapant dans ses voiles, avec une Ă©trange pudeur. J’ai mĂ©ditĂ© sur ces vers de Yeats « Mais moi qui n'ai que mes rĂȘves, Sous tes pas je les ai dĂ©roulĂ©s. Marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves. . Aurais-je les voiles brodĂ©s du Ciel, TissĂ©s de lumiĂšre d'or et d'argent, Les voiles bleus et pĂąles et sombres De la nuit, de la lumiĂšre, de la pĂ©nombre, Je dĂ©roulerais ces voiles sous tes pas. Mais moi qui suis pauvre, je n'ai que mes rĂȘves ; Et sous tes pas je les ai dĂ©roulĂ©s ; Marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves. . Had I the heaven's embroidered cloths, Enwrought with golden and silver light, The blue and the dim and the dark cloths Of night and light and the half-light, I would spread the cloths under your feet. But I, beeing poor, have only my dreams ; I have spread my dreams beneath your feet ; Tread softly because you tread on my dreams. . .William Butler Yeats, poĂšte et dramaturge irlandais, est nĂ© en 1865 dans le ComptĂ© de Dublin et mort en 1939 Ă  Menton France.Il est l'un des instigateurs du renouveau de la littĂ©rature irlandaise et a reçu le prix Nobel de littĂ©rature en fut Ă©galement un sĂ©nateur de l’État Libre d'Irlande durant deux mandats. . .

AdressĂ©au groupe , un poĂšme traduit en français de William Blake dont vous connaisser probablement mieux les cĂ©lĂšbres vers :marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves. En espĂ©rant que cela vous plaise

Marche doucement Car tu marches sur Mes rĂȘves ... * ti-cOup-de-cOeur Description Pardon pour les jours oĂč je me plaint. Les jours oĂč je ne vois que moi, mon nez et pas plus loin. Pardon pour toutes ces fois oĂč j'ai grossis mes problĂšmes, toutes ces fois oĂč j'ai fait tourner le monde sur moi mĂȘme.

Marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves » Quelle phrase prĂ©cieuse qui va nous accompagnerlongtemps : Merci, chĂšre Brigitte, pĂȘcheuse de perles fines

ï»żAVANT QUE LE MONDE NE FUTSi j’assombris mes cils Et illumine mes yeux Et fais mes lĂšvres plus Ă©carlates, Ou demande si tout cela est juste De miroir en miroir, Sans montrer de vanitĂ© Je cherche le visage que j’avais Avant que le monde ne fĂ»t. Et si je regarde un homme Comme on regarde son aimĂ©, Comme si mon sang un instant se glace Dans mon coeur immobile ? Pourquoi penserait-il que je suis cruel Ou qu’il soit trahi ? J'aurais aimĂ© le voir aimer ce qui Ă©tait Avant que le monde ne THE WORLD WAS MADEIf I make the lashes dark And the eyes more bright And the lips more scarlet, Or ask if all be right From mirror after mirror, No vanity’s displayed I’m looking for the face I had Before the world was if I look upon a man As though on my beloved, And my blood be cold the while And my heart unmoved? Why should he think me cruel Or that he is betrayed? I’d have him love the thing that was Before the world was et un poĂšmes. Bilingue de William Butler YeatsLes voiles du ciel Si j'avais les voiles brodĂ©s du ciel OuvrĂ©s d'or et d'argent par la lumiĂšre, Les voiles bleus, les voiles gris et les voiles sombres De la nuit, du jour et du demi-jour, J'Ă©tendrais ces voiles sous vos pieds Mais Ă©tant pauvres, je n'ai que mes rĂȘves; Que vos pas soient lĂ©gers, car vous marchez sur mes je pouvais t'offrir le bleu secret du ciel, BrodĂ© de lumiĂšre d'or et de reflets d'argent, Le mystĂ©rieux secret, le secret Ă©ternel, De la vie et du jour, de la nuit et du temps, Avec tout mon amour je le mettrais Ă  tes pieds. Mais moi qui suis pauvre et n'ai que mes rĂȘves, Sous tes pas je les ai dĂ©roulĂ©s. Marche doucement car tu marches sur mes wishes for the cloths of heaven Had I the heavens' embroised cloths, Enwrought with golden and silver light, The blue and the dim and the dark cloths Of night and light and half light, I would sprad the cloths under your feet But I, being poor, have only my dreams; I have spread my dreams under your feets ; Tread softly because you tread on my Butler YeatsSi je pouvais t'offrir le bleu secret du ciel, BrodĂ© de lumiĂšre d'or et de reflets d'argent, Le mystĂ©rieux secret, le secret Ă©ternel, De la vie et du jour, de la nuit et du temps, Avec tout mon amour je le mettrais Ă  tes pieds. Mais moi qui suis pauvre et n'ai que mes rĂȘves, Sous tes pas je les ai dĂ©roulĂ©s. Marche doucement car tu marches sur mes Butler YeatsSi je pouvais effleurer l'Ă©toffe brodĂ©e du ciel, Scintillante d'or et de reflets d'argent, L'Ă©toffe bleue, sombre ou noire De la nuit et du jour, des heures incertaines, Je la dĂ©poserais en offrande Ă  tes pieds. HĂ©ls! Je suis pauvre et ne possĂšde que mes rĂȘves, Ceux-lĂ  mĂȘme que j'ai dĂ©posĂ©s devant toi ; Marche d'un pas lĂ©ger, car tu marches sur mes rĂȘves. J'ai voulu que mes rĂȘves soient jetĂ©s sous tes pieds; fais-toi lĂ©gĂšre car tu foules mes rĂȘves. » Marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves. »William Butler YeatsSauve-toi, enfant de l'homme ! Fuis vers les bois et les eaux sauvages, La main dans celle d'une fĂ©e, Car le monde est plus empli de pleurs Que tu ne peux l' Butler YeatsViens, enfant des hommes, viens! Vers le lac et vers la lande En tenant la main d'une fĂ©e, car il y a plus de larmes au monde que tu ne peux le Butler YeatsQuand un homme viellit, sa joie Se fait chaque jour plus profonde Soncoeur vide dĂ©borde enfin mais il lui faut bien cette force Puisque le nuit qui s'accroit Ouvre au mystĂšre, Ă  l'effroiAU BAS DES JARDINS DE SABLES Au bas des jardins de sables je t'ai rencontrĂ©e, mon amour. Tu passais les jardins de saules d'un pied qui est comme neige. Tu me dis de prendre l'amour simplement, ainsi que poussent les feuilles, Mais moi j'Ă©tais jeune et fou et n'ai pas voulu te comprendre. Dans un champs prĂšs de la riviĂšre nous nous sommes tenus, mon amour, Et sur mon Ă©paule penchĂ©e tu posas ta main qui est comme neige. Tu me dis de prendre la vie simplement, comme l'herbe pousse sur la levĂ©e, Mais moi j'Ă©tais jeune et fou et depuis lors je te Butler YeatsI heard the old, old men say, 'All that's beautiful drifts away Like the waters.' J'ai entendu les plus anciens dire, 'Tout ce qui est beau s'en va Comme emportĂ© par les eaux.'LA ROSE DU MONDE Qui rĂȘva que la beautĂ© passe comme un rĂȘve ? Pour ces lĂšvres de feu, dont tout l’orgueil Est de porter le deuil de la merveille, Troie a passĂ©, flamme au loin, funĂ©raire, Et les enfants d’Usna ont succombĂ©. Nous aussi, et le monde qui peine, nous passons Mais lĂ , parmi les Ăąmes qui tournoient Avant de s’effacer comme les eaux promptes De l’hiver incolore, lĂ , parmi Les Ă©toiles qui passent, cette autre Ă©cume, Un visage survit, une solitude. Inclinez-vous, Archanges, dans vos pĂ©nombres ! Avant vous, avant mĂȘme que cƓur ne batte, Lasse et bonne une femme s’attardait PrĂšs du trĂŽne de Dieu ; et Lui, Il fit de l’univers un grand chemin d’herbe Pour ses pas Butler YeatsRends-moi trois choses, cruelle mort, Chantait l’os sur le rivage, Un enfant eut ce qu’enfant cherche De plaisir ou d’heureux sommeil Sur l’abondance de ma poitrine C’est un os blanchi par la vague Et dessĂ©chĂ© par le vent. Trois choses pleines que femmes savent, Chantait l’os sur le rivage, Un homme, si je l’étreignais Ainsi, quand mon corps Ă©tait vie, Y trouvait toute joie que donne la vie C’est un os blanchi par la vague Et dessĂ©chĂ© par le vent. Et la troisiĂšme de mes hantises, Chantait l’os sur le rivage, C’est ce matin oĂč je vis Face Ă  face mon vrai amour, Et m’étirai ensuite, et bĂąillai, heureuse. C’est un os blanchi par la vagueLe Vent parmi les roseaux de William Butler YeatsJ'entends les Chevaux Obscurs, leurs longues criniĂšres claquent, Leurs sabots font un lourd tumulte, leurs yeux ont un Ă©clat blanc, Le Nord au-dessus d'eux dĂ©ploie la nuit qui s'accroche et se traĂźne, L'Est rit en cachette avant que l'aube poigne, L'Ouest en rosĂ©e pĂąle pleure, soupire et disparaĂźt, Le Sud Ă©pand des roses d'Ă©carlate feu O vanitĂ© du Sommeil, de l'Espoir, du Songe, de l'infini DĂ©sir, Les Chevaux du DĂ©sastre plongent dans l'argile lourde ; Ferme Ă  demi tes yeux, bien-aimĂ©e, que ton cƓur batte Sur mon cƓur, et que ta chevelure tombe sur ma poitrine, Qu'elle noie la solitude d'amour en profond crĂ©puscule de paix, Qu'elle cache leurs criniĂšres fluctueuses, leurs pieds VIENNE LA NUIT Elle vivait dans l’orage et les querelles, Son Ăąme avait un tel dĂ©sir De ce que la fiĂšre mort peut apporter Qu’elle ne pouvait supporter Le bien commun de la vie, Mais elle vivait telle un roi Emplissant le jour de ses noces D’étendards et de flammes, De trompettes et de timbales, Et du canon impĂ©tueux Pour congĂ©dier le temps Et que vienne la DE SWIFT Le navire de Swift s'Ă©loigne Dans le repos Ă©ternel. Nulle indignation forcenĂ©e Ne l'y dĂ©chirera plus. Imite-le si tu l'oses, Voyageur qu'abĂȘtit le monde, Car Swift a servi la cause De l'humain qui est d'ĂȘtre Butler YeatsParmi les rochers couverts de lierre, Comme sur la lumiĂšre bleue d'une Ă©pĂ©e, un homme D'une majestĂ© hors du commun, avec des yeux Pareils Ă  ceux d'un grand milan parcourant les bois, Se tenait sur mon chemin. Tremblant de la tĂȘte aux pieds, Je le contemplais comme une gĂ©linotte un milan. Mais avec une voix dont la tonalitĂ© Ă©tait surnaturelle, Il dit "C'est courtiser pĂ©niblement et longuement, Que de parler d'amour par les lĂšvres d'un autre et de regarder Sous les paupiĂšres d'un autre, car c'est mon art Qui inspira une passion Ă  celui qui dort lĂ -bas, Et quand j'ai obtenu ce que je voulais et que je t'ai attirĂ©e ici, En ce lieu oĂč je peux te parler Ă  toi seule, mon art Lui a ĂŽtĂ© sa passion, L'abandonnant au simple sommeil. Il s'Ă©veillera avec le soleil, Etirera ses membres vigoureux et se frottera les yeux, Se demandant ce qui l'a fait souffrir depuis douze mois". Je me blottis contre le mur, terrifiĂ©e, Mais cette douce voix poursuivit "Femme, J'Ă©tais ton mari quand tu chevauchais les airs, Dansant dans l'Ă©cume tourbillonnante et la poussiĂšre, En un temps dont tu ne te souviens plus, Car tu fus traĂźtreusement livrĂ©e Ă  un berceau, et je viens Te rĂ©clamer Ă  nouveau comme Ă©pouse". Je n'Ă©tais plus terrifiĂ©e ...............Dites-leur, Ă  ceux qui hantent le sĂ©jour de paix, que je voudrais bien mourir et aller vers celle que j'aime. Les ans, comme de grands boeufs noirs, foulent le monde. Dieu, leur gardien, les pousse de son aiguillon, et moi, leurs sabots m'ont meurtri au Butler YeatsJ'ai vu beaucoup plus d'hommes ruinĂ©s par le dĂ©sir d'avoir une femme et des enfants que par l'alcool et la voulu que mes rĂȘves soient jetĂ©s sous tes pieds; fais-toi lĂ©gĂšre car tu foules mes rĂȘves.

Personnene courait, juste une marche. Silencieuse. Et j'Ă©tais lĂ , comme invisible, je restais passive, je regardais, je crois mĂȘme que je ne pensais mĂȘme pas Ă  faire un mouvement tant j'Ă©tais intriguĂ©e. Mes yeux se baladaient de droite Ă  gauche, de gauche Ă  droite, mon seul mouvement. Et puis ils se sont posĂ©s sur ce petit garçon, le plus petit.
On croit toujours savoir le pire et finalement il vient toujours aprĂšs. On imagine pas toujours la bonne solution, elle n'est pas toujours associĂ©e au bon problĂšme. Quand on se trompe de route c'est par rapport Ă  quoi? peut-ĂȘtre est-ce juste pour se convaincre que jusqu'Ă  aujourd'hui on suivait la bonne voie. L'erreur est toujours plus supportable lorsqu'on s'en aperçoit Ă  temps. Le temps. Je deteste ce mot de plus en plus. Pas quand on parle des saisons. Mais quand on parle du temps. [ le tEmpS ] Ce que l'avenir nous reserve est assez noir. Tellement beau par rapport Ă  tout ce qu'on voit. Mais le drame est lĂ  on a beau se dire qu'il ya bien pire, qu'on est heureux de façon injuste mĂȘme face Ă  toutes les horreurs qui nous entourent, on ne peut pas s'empĂȘcher de se concentrer sur les nuages d'orage dans notre coin de ciel. Au plus on avance au plus l'ĂȘtre humain se fait rare. Puisque je suis dans Pennac, on va le paraphraser mais quand on rencontre un "ĂȘtre humain z'humain" il ne faut pas le lacher. Peut-ĂȘtre que dĂ©cidemment la flamme qui brille en chaque coeur n'est pas si universelle que ça. N'en dĂ©plaise Ă  certains, je pense que de plus en plus, je crois en l'HumanitĂ©. Mais je crois de moins en moins en l'homme. Ironie du sort que de ne pas croire en soi-mĂȘme. L'ultime luciditĂ©? Ou la grande question qui ne sert Ă  rien? Ă  part se prendre la tĂȘte... "On donne un nom Ă  ce qui nous fait peur. C'est pour cela que l'homme en a deux." A. Baricco musica Michiru Oshima " Beaming Sunlight Posted on Monday, 21 August 2006 at 1245 PMEdited on Thursday, 18 December 2008 at 1113 PM Fima" que mes rĂȘves Alors c'est de mes rĂȘves qu'il faut te contenter Marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves" W.B. Yeats
Mal Aujourd'hui Ă  Palavas Parfois la vie me fait mal. Oh un tout petit mal, comparĂ© au gĂ©ant mal des autres
Un mal de fourmi. J’ai contemplĂ© longuement ma vie, face Ă  la mer. J’ai marchĂ© sur cette plage, regardĂ© le soleil pĂąle se drapant dans ses voiles, avec une Ă©trange pudeur. J’ai mĂ©ditĂ© sur ces vers de Yeats Mais moi qui n'ai que mes rĂȘves, Sous tes pas je les ai dĂ©roulĂ©s. Marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves. » Parfois, la vie me fait mal. Elle marche sur mes rĂȘves. Mais elle m’apporte presqu’aussitĂŽt de douces consolations. Avec une Ă©trange constance. 257/366
Translationsin context of "marche doucement" in French-English from Reverso Context: Je marche doucement comme pour évacuer le stress du voyage et des derniÚres
French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. walk slowly tread softly walk slow Walk softly Je marche doucement comme pour Ă©vacuer le stress du voyage et des derniĂšres semaines. I walk slowly to help release the stress of the trip and the last few weeks. J'ai tout mon temps, alors je marche doucement. Je me perds, je regarde l'architecture, je profite de la beautĂ© des immeubles, je profite du ciel bleu. Time is not a problem, so I walk slowly... I get lost, I look at the beauty of the city, I enjoy the architecture and I appreciate the blue sky. Le poĂšte irlandais a d'ailleurs dit marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves ». As the Irish poet Yeats said, "Tread softly because you tread on my dreams." Loch LĂłistin Quel poĂšte cĂ©lĂšbre a Ă©crit ces vers romantiques J'ai dĂ©posĂ© mes rĂȘves sous tes pieds ; marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves » ? Loch LĂłistin Which famous Irish poet wrote the romantic words, 'I have spread my dreams under your feet; tread softly for you tread on my dreams'? TrĂšs bien, mais marche doucement. On marche doucement mais surement. Donc j'attends 5 minutes, laisse les lumiĂšres allumĂ©es, marche doucement vers la fenĂȘtre, regarde, et le voilĂ ! So, I wait 5 minutes, leave the lights out, and walk slowly over to the window, peer out, and there he is! "Marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves" William Butler Yeats. Faire un rĂȘve baroque... "Tread softly because you tread on my dreams" William Butler YeadsFaire un rĂȘve baroque... Son livre Marche doucement car tu marches sur mes blagues » 1966, bien que d'un ton ironique et acerbe, a rĂ©vĂ©lĂ© la vision sĂ©rieuse de la vie de Muggeridge. His book Tread Softly for You Tread on My Jokes 1966, though acerbic in its wit, revealed a serious view of life. Le titre est une allusion Ă  la derniĂšre ligne du poĂšme Aedh Wishes for the Cloths of Heaven par William Butler Yeats "Marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves". The title is an allusion to the last line of the poem Aedh Wishes for the Cloths of Heaven by William Butler Yeats "Tread softly because you tread on my dreams." Marche doucement jusqu'Ă  la porte. Je marche doucement pour pas taper dans la porte. So I won't bang the door and so I can come in quietly. Le soir, on marche doucement. Like at night, you tiptoe. Quand tu montes les escaliers, marche doucement. Tout se remet en marche doucement mais sĂ»rement . Les oubliĂ©s de la marche doucement s'Ă©teignent Lorsque le prĂ©lĂšvement est terminĂ©, l'agitateur est remis en marche doucement, comme dĂ©crit plus haut; aprĂšs quoi on augmente la vitesse d'agitation progressivement. After sampling is completed, the stirrer is started again slowly, as described above, and then the stirring rate is increased gradually. Comme le soleil levant transforme tout en soie Ă©tincelante, je marche doucement dans l'eau veloutĂ©e, veillant Ă  ne pas troubler la puretĂ© de ce moment paisible. As the rising sun spins everything into silk, I walk into velvety water, taking care not to disturb the purity of this moment. Il est beau et marche doucement sur la terre. Plein de rĂ©vĂ©rence et d'amour pour la Vie, il vit le moment prĂ©sent. It is beautiful and walks gently on the Earth It is filled with reverence and love for life. Maintenant, mĂȘme si nous n'avons que quatre cadres, grĂące Ă  Synfig, nous avons 24 images d'un homme qui marche doucement. Now, even though we've only drawn 4 keyframes, by the power of Synfig, we can render a smooth 24 frames of man walking. No results found for this meaning. Results 39. Exact 39. Elapsed time 101 ms. Documents Corporate solutions Conjugation Synonyms Grammar Check Help & about Word index 1-300, 301-600, 601-900Expression index 1-400, 401-800, 801-1200Phrase index 1-400, 401-800, 801-1200
. 63 736 652 308 140 530 532 171

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