Laville (Municipalité) de Rocamadour est situé dans le département de Lot, Midi-Pyrénées en France. Les coordonnées du satellite de Rocamadour sont: latitude 44°47'57"N et longitude 1°37'4"E Il ya 1209 lieux (ville, villes, hameaux ) entre un rayon de 100 kilomÚtres / 62 miles du centre de Rocamadour, l'endroit le plus proche est
DĂ©couvrir une carte de l’Occitanie. La rĂ©gion d’Occitanie se trouve en France mĂ©tropolitaine dans le sud du pays. Le code INSEE de la rĂ©gion est le 76. Dans cet article vous trouverez plusieurs cartes sur des thĂšmes variĂ©s concernant la rĂ©gion de l’Occitanie. Cette derniĂšre fait partie des rĂ©gions nouvellement créées suite Ă  la rĂ©forme territoriale de 2014. Ci-dessous vous trouverez une carte de l’Occitanie. Celle-ci permet de dĂ©couvrir la rĂ©gion et ses principales caractĂ©ristiques. Dans cet article vous trouverez Ă©galement des cartes sur des thĂšmes variĂ©s comme le relief, les dĂ©partements, les principales villes, les communes, une carte vierge, politique
 Carte de l’Occitanie rĂ©gion – Fond de carte IGN Carte de l’Occitanie la gĂ©ographie La rĂ©gion d’Occitanie se trouve au croisement entre l’Europe de l’Ouest et l’Europe du Sud. Dans le pays elle est dans le sud de la France mĂ©tropolitaine. Grande de 72 724 km2, elle est voisine de la rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine qui se trouve Ă  l’ouest et de la rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d’Azur qui est Ă  l’est. Au nord la rĂ©gion est frontaliĂšre avec l’Auvergne-RhĂŽne-Alpes. Mais elle possĂšde la particularitĂ© d’ĂȘtre aussi frontaliĂšre de deux pays au sud, ainsi l’Espagne et Andorre son des voisins directs. Comme on peut le voir sur la carte de l’Occitanie, la capitale de la rĂ©gion est Toulouse. La ville se situe Ă  590 km au sud-sud-ouest de la capitale de la France, Paris. A l’ouest on trouve la grande ville de Marseille. Plus proche on trouve Bordeaux qui se situe au nord-est, Ă  246 km. Occitanie carte rĂ©gion – Fond de carte IGN A l’étranger on peut citer Barcelone qui se trouve Ă  395 km au sud. Petite anecdote, le centre gĂ©ographique de l’Occitanie est situĂ© sur la commune de Lautrec. Cette derniĂšre est dans le dĂ©partement du Tarn que l’on peut voir sur la carte de l’Occitanie, Ă  57 km Ă  l’est de Toulouse. La rĂ©gion possĂšde un littoral au sud-est par le biais de la mer MĂ©diterranĂ©e. Cela permet Ă  cette derniĂšre d’avoir une voie de transports maritimes pour effectuer des Ă©changes commerciaux et culturels avec une dimension internationale. Cela depuis l’AntiquitĂ©. Il faut Ă©galement noter Ă  l’est la prĂ©sence du RhĂŽne, qui est un axe ancien de circulation notamment entre le nord et le sud de l’Europe de l’Ouest. RĂ©gion de l’Occitanie sur une carte de France – CrĂ©dit Actualitix Pour continuer sur le plan fluvial, l’Occitanie est traversĂ©e du nord-ouest au sud-est par une voie qui contient une partie du canal latĂ©ral Ă  la Garonne et aussi du cĂ©lĂšbre canal du Midi entre Toulouse et l’étang de Thau oĂč il va se jeter sur dans la commune de Marseillan. Cet axe est aussi nommĂ© canal des Deux-Mers » et il fait de la rĂ©gion un isthme entre l’ocĂ©an Atlantiques et la mer mĂ©diterranĂ©enne. Le climat La rĂ©gion Occitanie est touchĂ©e par plusieurs types de climats, trois au total. Le premier concerne le littoral du Languedoc qui est soumis au climat mĂ©diterranĂ©en. Le deuxiĂšme concerne le bassin aquitain qui possĂšde un climat ocĂ©anique un peu plus chaud car lĂ©gĂšrement au sud. Enfin, le troisiĂšme type de climat concerne le Massif central et les PyrĂ©nĂ©es, comme on peut s’en douter ce dernier est sous l’influence montagnarde. Carte des dĂ©partements de l’Occitanie – CrĂ©dit Actualitix Il faut cependant noter que seuls les sommets les plus hauts des PyrĂ©nĂ©es ont rĂ©ellement un climat montagnard. L’emplacement qui se situe entre le Toulousain et le seuil du Lauragais se trouve sous l’influence de deux climats ocĂ©anique et montagnarde. En savoir plus sur la rĂ©gion Occitanie La superficie de la rĂ©gion Occitanie est de 72 724kmÂČ, elle est la troisiĂšme rĂ©gion de France par la taille. La rĂ©gion compte une population de 5,7 millions d’habitants, elle est au 5eme rang des rĂ©gions. La densitĂ© de la population est de 79 habitants / kmÂČ. Le chef-lieu de la rĂ©gion est Toulouse. Carte avec numĂ©ros des dĂ©partements de l’Occitanie – CrĂ©dit Actualitix Ci-dessous les nombreuses possibilitĂ©s touristiques divisĂ©es selon les anciennes rĂ©gions pour plus de simplicitĂ© Attractions Touristiques du Languedoc Roussillon Les Sites ClassĂ©s du Languedoc Roussillon 10 Grands Sites de France 14 Plus Beaux Villages de France 5 Plus Beaux DĂ©tours de France 9 Villes d’Art et d’Histoire 11 Jardins Remarquables 5 Parcs Naturels Carte vierge avec dĂ©partements de l’Occitanie – CrĂ©dit Actualitix Les Incontournables du Languedoc Roussillon Pont du Gard Le Canal du Midi Lac de Saint FerrĂ©ol 11 La CitĂ© de Carcassonne L’Abbaye de Saint Guilhem le DĂ©sert Mare Nostrum aquarium gĂ©ant de Montpellier Seaquarium aquarium du Grau du Roi La serre amazonienne Parc zoologique La RĂ©serve africaine de Sigean Train Ă  vapeur des CĂ©vennes Bambouseraie de Prafrance Parc Ă  loups du GĂ©vaudan Les Grottes du Languedoc Roussillon Grotte de l’Aguzon Axat 11 Gouffre GĂ©ant de Cabrespine Cabrespine 11 Grotte de Limousis Limousis 11 Grotte de Trabuc Mialet 30 Grotte de la CocaliĂšre Saint Ambroix 30 Abime de Bramabiau Saint Sauveur Camprieu 30 Espace de DĂ©couverte du Milieu Souterrain Courniou 34 Grotte de Labeil Le Caylar 34 Grotte des Demoiselles Saint Bauzille de Putois 34 Grotte de Clamouse Saint Jean de Fos 34 Aven Armand Meyrueis 48 Grotte de Dargilan Meyrueis 48 Grotte des Canalettes Corneilla de Conflent 66 Grotte de Frontrabiouse Frontrabiouse 66 PrĂ©histo Grotte Cova Bastera Villefranche de Conflent 66 Carte vierge de l’Occitanie – CrĂ©dit Actualitix Attractions Touristiques en Midi PyrĂ©nĂ©es Sites ClassĂ©s 1 Grand Site de France 30 Plus Beaux Villages de France 7 Plus Beaux DĂ©tours de France 20 Villes d’Art et d’Histoire 21 Jardins Remarquables 5 Parcs Naturels Les incontournables en Midi PyrĂ©nĂ©es reconnus Grands Sites Midi PyrĂ©nĂ©es » Albi 81 Centre historique Auch 32 Grand Site Midi PyrĂ©nĂ©es, Pays d’Art et d’Histoire Cahors 46 Ville d’art et d’histoire Canal des Deux Mers 31 et 82 Ouvrage d’art exceptionnel qui relie la MĂ©diterranĂ©e et l’Atlantique Cauterets-Pont d’Espagne 65 Un spectacle grandeur nature Cirque de Gavarnie 65 1 700 m de hauteur et de 14 km de circonfĂ©rence Collection AriĂšge 09 ChĂąteau de Foix 09 ChĂąteau de MontsĂ©gur 09 Forges de PyrĂšne Grotte du Mas d’Azil 09 Grottes de Niaux 09 Mirepoix 09 Parc de la PrĂ©histoire de Tarascon-sur-AriĂšge Saint-Lizier 09 Ville d’art et d’histoire, ex Plus Beau Village de France Conques 12 Etape majeure sur les chemins de St-Jacques de Compostelle Cordes-sur-Ciel 81 Bastide fondĂ©e en 1222, 1er Village prĂ©fĂ©rĂ© des Français 2014 Figeac 46 Patrimoine d’exception Flaran-BaĂŻse-Armagnac 32 D’abbaye cistercienne en cathĂ©drale gothique dĂ©couvrir le patrimoine unique de la Gascogne Lac de Saint-FerrĂ©ol 31 et 81 PiĂšce maĂźtresse d’alimentation en eau du Canal du Midi Lourdes 65 Haut lieu de spiritualitĂ© Luchon 31 Ville thermale Ă  l’histoire prestigieuse Marciac et son Festival Jazz 32 Moissac 82 Haut lieu de l’art roman en France Najac 12 Plus Beau Village de France, Ville d’art et d’histoire Pic du Midi 65 Observatoire astronomique Ă  2 877 m d’altitude Rocamadour 46 CitĂ© mĂ©diĂ©vale classĂ©e Grand Site de France Rodez 12 CathĂ©drale, centre ancien, haras et musĂ©es Saint-Bertrand-de-Comminges 31 CitĂ© romaine fondĂ©e au Ier siĂšcle av Saint-Cirq-Lapopie 46 Village prĂ©fĂ©rĂ© des Français 2012 SorĂšze 81 Revel 31 Lac de Saint-FerrĂ©ol 31, 81 et 11 Aux sources du Canal du Midi Toulouse 31 CƓur historique VallĂ©e de la Dordogne 46 ChĂąteaux, villages de charme et demeures de caractĂšre se succĂšdent au fil de la Dordogne Viaduc de Millau 12 Un chef d’Ɠuvre absolu Villefranche-de-Rouergue 12 Plus Beau DĂ©tour de France, Ville d’art et d’histoire
Rocamadour ActivitĂ©s. C'est dans Ie palais des Ă©vĂȘques, reconstruit au XIXe, que se trouve Ie musĂ©e. II abrite des peintures, sculptures et piĂšces d'orfĂšvrerie dont beaucoup proviennent d'Ă©glises de la rĂ©gion, isolĂ©es ou vulnĂ©rables (certains objets sont encore u Les Remparts de Rocamadour. Rocamadour. ActivitĂ©s. Occitanie / Lot / Rocamadour / Plan de Rocamadour Voici le plan de Rocamadour, utilisez le zoom Ă  gauche sur la carte et votre souris pour trouver votre chemin, voir les diffĂ©rentes rues et routes de la ville. Les lignes en pointillĂ© reprĂ©sentent les limites administratives de la ville. HĂŽtelRestaurant du ChĂąteau (Hotel Restaurant Du Chateau) - SituĂ© Ă  800 mĂštres de la CitĂ© religieuse, HĂŽtel Restaurant du ChĂąteau Rocamadour dispose d'un bar, un espace de jeu et une piscine chauffĂ©e. Cet hĂŽtel est Ă  1,8 km du MusĂ©e La Maison des Abeilles.

Vous avez choisi des vacances en camping dans le Lot ou plus particuliĂšrement un camping Ă  Gourdon ? Gourdon se trouve dans le Quercy, oĂč vous pourrez dĂ©couvrir Cahors ou le parc naturel des causses, propice Ă  la randonnĂ©e..En camping dans le Lot, visitez Cahors et parcourez ce pays d’art et d’histoire qui offre une multitude de chĂąteaux Ă  visiter et de petits villages typiques Ă  souhaitez un sĂ©jour un sĂ©jour en tente, une location mobil-home Ă  Gourdon dans un terrain Ă  taille humaine, oudans un beau camping 4 ou 5 Ă©toiles ? Vous trouverez 3 campings Ă  Gourdon et 11 campings Ă  proximitĂ©. DĂ©couvrez DOMAINE LE QUERCY, DOMAINE NATURISTE LE CHAMP DE GUIRAL, LE principaux sites touristiques du Lot Quercy Notre sĂ©lection de campings CAMPING DES ARCADES Ă©toiles Saint-PantalĂ©on, Lot 46 Visiter le site DOMAINE DU SURGIÉ Ă©toiles Figeac, Lot 46 Visiter le site LA PAILLE BASSE Ă©toiles Souillac, Lot 46 Visiter le site LA RIVIÈRE Ă©toiles Lacave, Lot 46 Visiter le site PADIMADOUR Ă©toiles Rocamadour, Lot 46 Visiter le site PAYRAC LES PINS Ă©toiles Payrac, Lot 46 Visiter le site 3 campings correspondent Ă  votre recherche Gourdon se trouve Ă  proximitĂ© de Quercy Vous pourrez Ă©galement profiter de vos vacances Ă  Gourdon pour dĂ©couvrir ces lieux culturels BibliothĂšque Intercommunale de Gourdon, La Maison du SĂ©nĂ©chal - Centre d'InterprĂ©tation de l'Architecture et du Patrimoine, Les Jardins de la Butte ou Ă  proximitĂ© Les Jardins de la Butte Ă  Gourdon, La Maison du SĂ©nĂ©chal - Centre d'InterprĂ©tation de l'Architecture et du Patrimoine Ă  Gourdon, BibliothĂšque Intercommunale de Gourdon Ă  Gourdon . CĂŽtĂ© nature, dĂ©couvrez Grottes PrĂ©historiques de Cougnac Ă  Payrignac, RĂ©serve Naturelle RĂ©gionale du Marais de GrolĂ©jac Ă  GrolĂ©jac, Grotte de PĂ©chialet Ă  GrolĂ©jac. Pour sortir avec les enfants, profitez des attractions Ă  proximitĂ© Plan d'eau du Roc PercĂ© Ă  GrolĂ©jac, Labyrinthe de l'Ermite Ă  Domme, RĂ©serve Zoologique de Calviac Ă  Calviac-en-PĂ©rigord, PrĂ©histo-Dino Parc Ă  Lacave, Parc Durandal Ă  Rocamadour, Labyrinthe de MaĂŻs des ChĂąteaux Ă  VĂ©zac . 3 campings Ă  Gourdon disposent d'une piscine. Selon les campings, vous pourrez profiter de plusieurs bassins, de toboggans ou de lagons... IdĂ©es tourismeCamping dans le Lot, entre nature et villages mĂ©diĂ©vaux 31/03/2021 SituĂ© dans la rĂ©gion Occitanie, le Lot est un dĂ©partement du Sud-Ouest créé pendant la RĂ©volution française. Son nom ... IdĂ©es tourismeLe camping dans le Quercy c'est ici 23/03/2021 SituĂ© entre l’Auvergne et le PĂ©rigord, le Quercy Ă©tait autrefois une province française. Il regroupe aujourd’hui le dĂ©partement du Lot ... SponsorisĂ© ActualitĂ©s SirĂšne Holidays, trois adresses 5* pour des vacances de rĂȘve sur la cĂŽte MĂ©diterranĂ©enne ! 17/12/2021 Des vacances inoubliables en famille, face Ă  la MĂ©diterranĂ©e, tout le monde en rĂȘve ! Avec ses trois Ă©tablissements 5* ... IdĂ©es tourismeTerritoire de Belfort, camper aux portes de l'Alsace 24/08/2022 Créé Ă  partir de l’arrondissement de Belfort et de l’Alsace, le Territoire de Belfort ne voit officiellement le jour ... IdĂ©es tourismeCamping dans le Var, sous le signe de la gĂ©nĂ©rositĂ© 18/08/2022 SituĂ© dans la belle rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d’Azur, Le Var doit son nom au fleuve cĂŽtier qui n’arrose pourtant plus ... Voir tous mes campings consultĂ©s

Rocamadour randonnĂ©es et balades. Choisir le circuit des moulins et suivre le canyon de l’Alzou. Remonter sur le causse et suivre le sentier en direction du Gouffre de Padirac. Explorer les plus beaux villages et flĂąner entre les vieilles Fb Img 1654540097144©Fb Img 1654540097144 Capture D’écran 2022 06 16 Ă  D’écran 2022 06 16 Ă  On peut diviser le contre-la-montre en 3 parties De Lacapelle Ă  Bio le parcours est vallonnĂ©, trĂšs sinueux et ombragĂ©. De Bio Ă  Gramat puis Couzou changement de paysage, on arrive sur le causse et il devrait y faire plus chaud. De Couzou Ă  Rocamadour, le final. Le paysage est trĂšs sec et les deux cĂŽtes promettent du spectacle ! Titre de la vidĂ©o manquant LĂ©gende de la vidĂ©o manquante Tour De France Logo Village dĂ©part du Tour de FranceVillage dĂ©part du Tour de France Le CafĂ© du midiBar-restaurant Le GlacierHĂŽtel-restaurant Ô Cantou va BienCuisine traditionnelle. Le dĂ©but de l’étape est constituĂ© d’une route qui serpente dans la campagne lotoise. Cette premiĂšre partie est intĂ©ressante, car le parcours est plutĂŽt technique. Nombre de virages serrĂ©s vont obliger les coureurs Ă  freiner et vous aurez vraiment le temps de les admirer ! Aire de Camping-CarAnglars Aire de Camping-CarAnglars Aire de Camping-CarAnglars Au fournil d'AynacRestaurant Bar - restaurantLe relais 1908 RestaurantLa Rotisserie d'Aynac La 2Ăšme partie du contre-la-montre est plus classique. Les coureurs vont pouvoir donner toute leur puissance, notamment prĂšs de l’hippodrome du Tumulus prĂšs de Gramat avec 2 grandes lignes droites. Vivez le tour depuis Bio ! Le village de Bio, entre Gramat et Aynac, sera, Ă  n’en pas douter, un bon spot pour voir les coureurs ! Buvette Restauration avec des producteurs locaux Animations festives Tour de France avec AG2R. Le restaurant du village Le jardin St Hilaire » sera ouvert dĂšs 8h et propose des petits dĂ©jeuners, biĂšres, cafĂ©s, assiettes gourmandes, ambiance musicale, diffusion du Tour en direct. ⚠ Attention, les accĂšs seront difficiles, car la route principale est celle du parcours du Tour de France ⚠ AccĂšs au village depuis le nord par Lavergne et depuis le sud par la D15. Cette derniĂšre partie sera assurĂ©ment la plus spectaculaire ! Tout d’abord, la montĂ©e vers le col de MagĂšs juste aprĂšs Couzou la route serpente au milieu du causse de Gramat. Ici l’environnement sera trĂšs sec et la tempĂ©rature devrait monter đŸ”„ – pas d’ombre pour se protĂ©ger. La derniĂšre montĂ©e vers Rocamadour sera le juge de paix. Les paysages sont spectaculaires avec Rocamadour en arriĂšre-plan, mais surtout, l’affluence devrait ĂȘtre digne des plus grands cols du Tour de France. The place to be ! » mais il va falloir se lever tĂŽt 😬. Le contre-la-montre du Tour de France Ă  Couzou ! Pour assister aux premiĂšres loges de cette derniĂšre Ă©tape compĂ©titive du Tour de France
 Couzou est The place to be » Restauration en mode pique-nique » avec les produits de la rĂ©gion, Deux buvettes Stand SPOREO produits officiels du Tour de France Bar Ă  saucisson Cochonou, Un spectacle de rue RĂȘve de vĂ©lo » est prĂ©vu pour vous divertir en attendant le passage des concurrents, ainsi que la crĂ©ation d’une grande fresque Ă©vĂ©nementielle par Christophe CALLENS, grapheur, tout au long de la journĂ©e. ⚠ Attention, les accĂšs seront difficiles, car la route principale est celle du parcours du Tour de France ⚠ AccĂšs au village par l’est D39, par le sud depuis Carlucet D32 ou avant 8h.

Patrimoine: le Lot compte 420 sites et monuments protĂ©gĂ©s et un petit patrimoine rural prĂ©servĂ©. Des sites emblĂ©matiques : le pont ValentrĂ© Ă  Cahors (inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO dans le cadre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle). La citĂ© mĂ©diĂ©vale de Rocamadour est un tout petit village Ă  la

Vous avez posĂ© vos congĂ©s, alors c’est parti ! Vous allez prĂ©parer votre dĂ©part pour le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Vous vous ĂȘtes abonnĂ© aux hashtags CheminDeCompostelle SantiagoDeCompostela SaintJacquesDeCompostelle, etc. sur tous les rĂ©seaux sociaux, vous avez vu les paysages magnifiques, les tĂ©moignages des pĂšlerins, et vous ne rĂȘvez que d’une chose partir enfin sur la route vers Saint-Jacques de Compostelle ! Allez donc vous installer dans un dĂ©licieux restaurant pour manger une coquille Saint-Jacques et pensez Ă  garder la coquille, nous, on s’occupe de vous donner tous les conseils pour faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Photo Jon Tyson Vous ĂȘtes dĂ©cidĂ© Ă  faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle mais vous n’avez pas encore exactement dĂ©cidĂ© ni oĂč, ni comment, ni pourquoi. On est lĂ  pour vous aider Ă  faire ces choix, mais on vous rassure, la raison est ce qu’il y a de moins important. 😉 Quel itinĂ©raire pour le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle ? Commençons par le commencement, quel itinĂ©raire allez-vous suivre ? DiffĂ©rentes routes sont possibles, on dit mĂȘme qu’il y a autant de chemins que de raisons de faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Vous pouvez mĂȘme faire le chemin de Compostelle depuis Lisbonne ou depuis Rome, car pour une fois, tous les chemins mĂšnent Ă  Saint-Jacques de Compostelle. Carte des itinĂ©raires du pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle On vous a prĂ©parĂ© une carte des itinĂ©raires pour aller Ă  Saint-Jacques de Compostelle recommandĂ©s au dĂ©part de la France, ce sont les voies les plus anciennes qui ont Ă©tĂ© empruntĂ©es par les pĂšlerins depuis le IXĂšme siĂšcle Voie de Tours, Via TuronensisVoie de VĂ©zelay, Via LemovicensisVoie du Puy, Via PodiensisVoie d’Arles, Via TolosanaChemin du PiĂ©montChemin aragonaisCamino francĂ©sChemin du NordCamino de Fisterra On vous a notĂ© les itinĂ©raires recommandĂ©s du chemin de Saint-Jacques de Compostelle sur cette carte, mais vous pouvez parfaitement les combiner ou suivre votre propre chemin. ConseilPensez Ă  adapter votre trajet en fonction de vos capacitĂ©s physiques, de vos envies et de la disponibilitĂ© des hĂ©bergements. Aller Ă  Saint-Jacques de Compostelle, les 4 itinĂ©raires de France En France, il existe quatre chemins du pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle qui sont ceux frĂ©quentĂ©s depuis plusieurs siĂšcles par les pĂšlerins. 1. Voie de Tours – Via Turonensis Longue de 1460 km, la voie de Tours, aussi nommĂ©e Via Turonensis. Elle part de Paris pour passer par
 Tours ! Vous ne l’auriez pas devinĂ© sans nous, n’est-ce pas ? L’une des Ă©tapes majeures de ce chemin vers de Saint-Jacques de Compostelle est la basilique Saint-Martin de Tours, arrĂȘtez-vous pour la voir ! Ce chemin ne prĂ©sente pas de difficultĂ© particuliĂšre, mĂȘme si 1460 km paraissent beaucoup, attendez de voir la suite parce que ce n’est mĂȘme pas le plus long ! De plus, il a l’avantage de vous permettre de marcher sous un climat tempĂ©rĂ© vers l’Espagne. 2. Voie de VĂ©zelay – Via Lemovicensis La voie de VĂ©zelay vous fera parcourir un peu plus de kilomĂštres encore, puisqu’elle s’étend sur 1750 km ! Cette route originairement nommĂ©e Via Lemovicensis s’appelle dĂ©sormais la voie de VĂ©zelay puisque qu’elle part de la basilique Sainte-Marie-Madeleine de VĂ©zelay. Cette route prĂ©sente une particularitĂ© du fait qu’elle propose une variante aux pĂšlerins vous pouvez passer par La CharitĂ©-sur-Loire, Bourges et ChĂąteauroux ;ou bien par Nevers, Saint-Pierre-le-MoĂ»tier et Neuvy-Saint-SĂ©pulchre. Parler de la voie de VĂ©zelay ou l’emprunter vous amĂšnera de toute façon Ă  la voie du Puy, puisque ces deux voies fusionnent Ă  la fin du parcours. 3. Voie du Puy – Via Podiensis La voie du Puy tient son nom du Puy-en-Velay, lĂ  oĂč se trouve son point de dĂ©part. Elle vous fera parcourir prĂšs de 1750 km. Anciennement, elle s’appelait Via Podiensis, au cas oĂč vous voudriez paraĂźtre cultivĂ©. Mais on vous le dit tout de suite il y a de grandes chances pour tous ceux que vous rencontriez en chemin le sachent dĂ©jĂ  ou s’en fichent Ă©perdument. La bonne nouvelle, c’est que la voie du Puy est l’itinĂ©raire qui dispose de la plus grande offre en terme d’hĂ©bergements. De plus, vous pourrez profiter des paysages exceptionnels du plateau de l’Aubrac et du Quercy. 4. Voie d’Arles La voie d’Arles part d’Arles, forcĂ©ment, et passe par Toulouse. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle est connue comme la Via Tolosana. Une variante de cette route existe l’une vous propose de passer par le nord, par LodĂšve et Castres, tandis que l’autre vous amĂšne Ă  Narbonne et Carcassonne. Quoiqu’il en soit, cette route est longue d’environ 1600 km. Les chemins intermĂ©diaires le chemin du PiĂ©mont et le chemin aragonais Oui, on avait dit quatre, mais il va bien falloir que vous rejoignez les chemins d’Espagne. Le chemin du piĂ©mont pyrĂ©nĂ©en et le chemin aragonais vous permettront de rejoindre les autres routes qui mĂšnent Ă  Saint-Jacques de Compostelle. AprĂšs ĂȘtre arrivĂ© Ă  la frontiĂšre espagnole, il faudra choisir si vous souhaitez faire le camino francĂ©s, ou le camino del Norte, le chemin du Nord. Photo Jorge Luis Ojeda Flota Aller Ă  Saint-Jacques de Compostelle, les itinĂ©raires en Espagne En Espagne, il existe de nombreuses possibilitĂ©s pour arriver Ă  Saint-Jacques de Compostelle. Mais on imagine que si vous avez dĂ©jĂ  marchĂ© de la France jusqu’à l’Espagne, vous ne comptez pas forcĂ©ment faire davantage de kilomĂštres en allant jusqu’à SĂ©ville. On vous propose deux chemins qui sont les plus frĂ©quentĂ©s pour le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle le camino francĂ©s et le chemin du Nord. Le Camino francĂ©s, le plus frĂ©quentĂ© Le plus frĂ©quentĂ© est le Camino francĂ©s, le chemin des Francs, qui rassemble 2/3 des pĂšlerins, et principalement de juin Ă  septembre. Ce chemin vous fera traverser plusieurs rĂ©gions d’Espagne et Navarre, La Rioja, Castille-et-LeĂłn et la Galice dans une ambiance conviviale et propice aux rencontres. Pensez Ă  vous arrĂȘter pour voir les monuments des villes oĂč vous ferez une halte, profitez des vues Ă  couper le souffle en chemin, et surtout goĂ»tez aux dĂ©licieuses spĂ©cialitĂ©s espagnoles de chaque rĂ©gion par laquelle vous passerez la fabada, la cecina, ou le pulpo a feira
 DÉ-LI-CIEUX. 👌 Cap vers le nord le chemin du Nord Le chemin du Nord reprend une partie du Camino Primitivo, le premier chemin empruntĂ© par les pĂšlerins des premiers siĂšcles. Si vous prĂ©fĂ©rez la solitude Ă  la convivialitĂ©, dĂ©laissez le camino francĂ©s pour continuer votre route sur le chemin du Nord. Celui-ci attire moins de 10% des pĂšlerins chaque annĂ©e, vous devriez donc pouvoir trouver un petit chemin tranquille pour le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle ! Pour aller plus loin le Camino de Fisterra Vous ĂȘtes arrivĂ© Ă  Saint-Jacques de Compostelle ! Vous avez terminĂ© ce merveilleux voyage par un bon repas et une tarte de Santiago ou par une tarta de bica, mais maintenant vous continueriez bien votre pĂ©riple. Quelle forme ! Ne vous arrĂȘtez pas en si bon chemin, continuez votre voyage avec le camino de Fisterra en allant jusqu’au bout de la pĂ©ninsule ibĂ©rique ! Comment faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle ? Les questions Ă  se poser avant de faire le pĂšlerinage Les premiĂšres choses Ă  dĂ©cider, c’est quand vous ferez le chemin, combien de temps, quel chemin suivre et comment. AprĂšs avoir dĂ©cidĂ© la pĂ©riode, la durĂ©e et le chemin que vous ferez, vous devrez choisir de faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle Ă  pied ou par un autre moyen. Le plus frĂ©quent est de le faire Ă  pied, mais vous pouvez aussi le faire Ă  vĂ©lo ou Ă  cheval. D’ailleurs, certains le font mĂȘme en fauteuil roulant entre 10 et 100 par an, alors que rien ne vous arrĂȘte ! đŸ’Ș OĂč dormir pendant le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle Vous avez lu quelque part qu’il Ă©tait recommandĂ© d’obtenir une crĂ©dentiale, sans trop savoir de quoi on vous parlait. Il s’agit d’un carnet de pĂšlerin qui peut ĂȘtre obligatoire pour accĂ©der Ă  certains gĂźtes et hĂ©bergements. Il vous permettra Ă©galement d’accĂ©der aux auberges municipales et associatives en Espagne. De plus, il vous permettra d’ĂȘtre reconnu comme pĂšlerin et d’avoir prioritĂ© sur les touristes pour obtenir une place oĂč dormir. Si vous ne l’avez pas, vous pourrez toujours dormir Ă  la belle Ă©toile ou dans les auberges privĂ©es. Comment obtenir la crĂ©dentiale ? Pour obtenir un carnet de pĂšlerin, vous pouvez vous rapprocher de l’autoritĂ© religieuse de votre commune puisque la crĂ©dentiale peut ĂȘtre dĂ©livrĂ©e par l’Église, ou bien par les Associations des Amis de Saint-Jaques de Compostelle avant de commencer votre voyage. Vous en aurez d’ailleurs besoin pour prouver que vous avez fait le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle et obtenir la Compostela, le document qui atteste que vous avez fait le pĂšlerinage. Pour l’obtenir, il faudra que vous ayez marchĂ© les 100 derniers kilomĂštres, ou bien les 200 derniers kilomĂštres si vous les faites Ă  vĂ©lo. đŸšČ Liste de ce qu’il faut emporter ou pas pour le pĂšlerinage vers Compostelle Ce qu’il faut emmener pour le pĂšlerinage Un sac Ă  dos ou une sacoche Si vous partez Ă  pied, il vous faudra un sac Ă  dos qui soit solide, confortable, de 35 Ă  40 litres, et que vous puissiez accrocher correctement. Mais si vous partez en vĂ©lo, en fauteuil ou Ă  cheval, optez plutĂŽt pour une sacoche tout en vous rappelant de limiter le poids que vous emmener. De bonnes chaussures de marche Pensez Ă  choisir de bonnes chaussures de marche et Ă  les tester sur une demi-journĂ©e de marche. Si une demi-journĂ©e de marche » vous paraĂźt beaucoup, vous devriez peut-ĂȘtre penser Ă  faire un autre voyage que le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. 😏 Quels vĂȘtements pour le pĂšlerinage ? En ce qui concerne les vĂȘtements Ă  emporter pour le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, nous vous recommandons d’emmener deux tenues complĂštes vĂȘtements et sous-vĂȘtements, que vous laverez sur le chemin pour vous changer. Alors deux hauts, deux pantalons, deux paires de chaussettes oui, parce que deux chaussettes, ça compliquerait les choses. Pensez Ă©galement Ă  porter une coquille Saint-Jacques qui vous permettra d’ĂȘtre reconnu comme pĂšlerin sur le chemin ! Ce qu’il ne faut pas emmener pour le pĂšlerinage non nĂ©gociable Voyager lĂ©ger Peu importe votre Ă©quipement, il faudra que vous voyagiez lĂ©ger. Soyez prĂ©parĂ©, une personne qui tient Ă  vous en gĂ©nĂ©ral votre maman, votre conjoint, votre fils ou votre voisine aura sans doute prĂ©parĂ© de dĂ©licieux cookies dans un tupperware pour le voyage. Il faudra dire non. Dites-lui que c’est vital, que vous l’avez lu sur Parclick et qu’on a un message Ă  lui faire passer Ne vous en faites pas, on lui a donnĂ© les meilleurs conseils Ă  suivre pour faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Faites-nous confiance ! 😉 » De toute façon vous verrez, il y a de trĂšs bons restaurants et snacks oĂč manger sur le chemin ! De la mĂȘme maniĂšre pour les liquides, une bouteille d’eau ou une gourde, c’est laaargement suffisant ! Il vous suffira de la remplir en chemin. Les fameux au cas oĂč » Hop hop hop ! Non, ça-lĂ , ce truc que vous emmenez au cas oĂč », laissez-le oĂč il est. Si vous n’en avez pas besoin pour votre survie, pas besoin de le porter sur tout le chemin. Vous trouverez de nombreux magasins oĂč acheter ce dont vous avez besoin sur la route, dans le cas oĂč vous auriez un imprĂ©vu. Il vaut mieux acheter quelque chose qui vous manque en chemin plutĂŽt que d’emporter des objets dont vous n’aurez pas besoin et qui ne feront qu’alourdir votre sac. Pourquoi faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle ? Les raisons peuvent ĂȘtre diverses, variĂ©es, voire mĂȘme se trouver en chemin. Beaucoup vous diront qu’ils sont partis par simple envie, sans trop savoir pourquoi. D’autres le font pour des raisons religieuses ou spirituelles. C’est une dĂ©cision personnelle motivĂ©e par diverses raisons. Enfin, peu importe les raisons qui vous poussent Ă  faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, qu’elles soient personnelles ou religieuses, l’important c’est que vous soyez motivĂ©. Cela dit, une autre excellente raison de faire le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, c’est de pouvoir faire des photos extraordinaires puis de les partager sur les rĂ©seaux sociaux ! Regardez un peu ce qui vous attend ! 😉 Vous avez trouvĂ© toutes les informations dont vous aviez besoin ? Posez-nous vos questions, envoyez-nous vos conseils, vos recommandations et racontez-nous votre expĂ©rience ! On vous Ă©coute et on vous rĂ©pond !
OuSe Trouve Le Luberon Sur La Carte De France. January 11, 2018. Posted by admin. Luberon Carte De France | Carte 2018 Carte du Luberon plan des 47 lieux Ă  voir Carte du Luberon : villages du Sud et Nord Luberon VAUCLUSE : Carte, plan departement du Vaucluse 84 Saint Saturnin en Luberon et son ChĂąteau MĂ©diĂ©val 1 le blog. Le systĂšme de circuits vitaux de la Terre 1. Alignements gĂ©omĂ©triques de lieux sacrĂ©s Alain Boudet Dr en Sciences Physiques 1. Alignements gĂ©omĂ©triques de lieux sacrĂ©s 2. RĂ©seaux Ă©nergĂ©tiques planĂ©taires et polyĂšdres 3. La nouvelle grille planĂ©taire et l'Ă©volution de la conscience RĂ©sumĂ© L'observation des lieux sacrĂ©s partout sur la planĂšte mĂ©galithes, monuments, ouvrages de terre, lieux de cĂ©rĂ©monie rĂ©vĂšle qu'ils ne sont pas situĂ©s au hasard, mais sur des lignes gĂ©omĂ©triques prĂ©cises. La Terre est tissĂ©e d'un rĂ©seau de ces lignes qui sont les manifestations physiques de flux Ă©nergĂ©tiques. Bien qu'il n'en soit pas fait mention dans notre Ă©ducation conventionnelle, ces faits ont Ă©tĂ© bien documentĂ©s dĂšs les annĂ©es 1930. Les peuples anciens dĂ©tenaient la connaissance de ces flux et l'ont imprimĂ©e dans le paysage. Les indigĂšnes actuels d'Australie et d'AmĂ©rique du Sud ne l'ont pas oubliĂ©. Contenu de la premiĂšre partie Les alignements de sites anciens en Angleterre Alignements de sites sacrĂ©s dans toute l'Europe Alignements astronomiques Plans stellaires Roues zodiacales dans le paysage Lignes sacrĂ©es en AmĂ©rique La Colombie et les Kogis aujourd'hui L'Australie et ses AborigĂšnes La Chine et les veines du Dragon Flux d'Ă©nergie Les vortex Le systĂšme de flux de la Terre Annexes Les dĂ©pĂątures de Gargantua La nature physique des lignes de flux L'apport de la radiesthĂ©sie En savoir plus Depuis l'espace, la Terre nous apparait comme une boule ronde et lisse trĂšs lĂ©gĂšrement aplatie aux pĂŽles. Nous distinguons facilement les mers et les continents, mais Ă  premiĂšre vue aucune structure rĂ©guliĂšre, aucun rĂ©seau, aucun treillis n'y sont apparents. Si un rĂ©seau de lignes structurĂ©es existe, il faut chercher d'autres indices. On peut tout d'abord noter que puisque la Terre tourne autour d'un axe qui traverse les pĂŽles, ces points se distinguent des autres parce qu'ils ne bougent pas. Ils auront donc un statut particulier dans un rĂ©seau. A partir de ces 2 pĂŽles, on peut Ă©galement construire l'Ă©quateur, comme cercle Ă©quidistant des 2 pĂŽles. Toutefois il en est dĂ©duit par rĂ©flexion, il n'est pas apparent concrĂštement par des caractĂ©ristiques physiques reconnaissables sur le terrain. De mĂȘme, par construction sur le globe, on peut tracer des cercles qui passent par les pĂŽles et entourent la Terre. Ce sont les mĂ©ridiens. Puis, si on trace les cercles horizontaux, donc perpendiculaires aux mĂ©ridiens, appelĂ©s parallĂšles, on obtient une grille de repĂ©rage et de gĂ©olocalisation au moyen de laquelle on peut dĂ©signer n'importe quel point de la Terre par ses coordonnĂ©es. Ce sont ces coordonnĂ©es, par exemple, qui sont utilisĂ©es par les satellites gĂ©ostationnaires GPS Global Positioning System - ou systĂšme mondial de localisation. La gĂ©odĂ©sie est la science qui a pour objet de mesurer la surface de la terre et de dĂ©finir un systĂšme de repĂ©rage tel que la longitude et la latitude. Toutefois, cette grille semble ĂȘtre une convention choisie arbitrairement par quelques spĂ©cialistes qui ne correspond pas Ă  une rĂ©alitĂ© physique. Il existe effectivement un treillis de lignes entrelacĂ©es qui se rĂ©vĂšlent par leurs traces physiques sur la Terre. Ce treillis est diffĂ©rent du systĂšme de mĂ©ridiens et de parallĂšles, mais par certains aspects, il prĂ©sente quelques rapports avec lui. Des pionniers l'ont redĂ©couvert Ă  partir de la fin du 19e siĂšcle. Nous allons les suivre pas Ă  pas dans leurs dĂ©couvertes. Dans ce premier article, nous nous intĂ©ressons aux alignements de sites. Dans le suivant, nous explorerons comment le treillis est organisĂ© sur le plan planĂ©taire et dans le troisiĂšme quelle est sa fonction et comment il Ă©volue avec le temps. Les alignements de sites anciens en Angleterre ou lignes de ley Au 19e siĂšcle, Ă  peu prĂšs en mĂȘme temps, plusieurs personnes en Europe sont intriguĂ©es par la disposition de certains lieux antiques ou lieux de culte qui commençaient Ă  susciter de l'intĂ©rĂȘt, et font quelques investigations rudimentaires avec leurs propres moyens. Ainsi, en Angleterre, William Black s'intĂ©ressait au rĂ©seau subsistant des anciennes routes romaines. De fil en aiguille, il se rend compte qu'il existait un filet de lignes droites qui couvrait la Grande-Bretagne et au-delĂ . Des lignes radiales et polygonales reliaient des points et Ă©difices prĂ©cis du paysage, dont certains constituaient des bornes de comtĂ©s. En 1870, il fait une confĂ©rence Ă  la British Archaeological Association oĂč il expose sa thĂ©orie. Il Ă©nonce que Entre les monuments existe un marquage fait de lignes gĂ©omĂ©triques qui couvrent l'ensemble de l'Europe occidentale". En 1882, G. H. Piper fait une causerie oĂč il Ă©nonce que Si on trace une ligne depuis la montagne Skirrid-fawr vers la Pierre d'Arthur au nord, elle passe par Hatterall Hill, et les chĂąteaux de Oldcastle, Longtown Castle, Urishay et Snodhill. Une ligne de ley Ă  Saintbury, Angleterre. Elle emprunte un ancien chemin, passe par une croix mĂ©diĂ©vale, une Ă©glise saxonne, et un tumulus Photo aĂ©rienne de Paul Devereux ©1996 Dans notre culture occidentale contemporaine, le concept d'alignements de sites est gĂ©nĂ©ralement attribuĂ© Ă  l'anglais Alfred Watkins dans les annĂ©es 1920, bien qu'Ă  la mĂȘme Ă©poque d'autres aient eu la mĂȘme idĂ©e, tel l'astronome anglais Norman Lockyer. En 1921, en se promenant Ă  cheval dans les collines de Blackwardine situĂ©es dans le Hereforshire, Watkins remarque que de nombreux sentiers semblent relier une colline Ă  une autre en ligne droite. En examinant ensuite une carte, il a l'intuition soudaine de l'alignement de sites prĂ©historiques. Recherchant des preuves visuelles de cette thĂ©orie, il dĂ©couvre que des sites tels que des pierres levĂ©es menhirs, des collines rondes artificielles ou tumulus qu'on prĂ©tend ĂȘtre d'anciennes structures funĂ©raires sont situĂ©s en ligne droite sur des kilomĂštres Ă  travers la campagne. Il prend de nombreuses photographies sur le terrain et constitue un club de recherche, le Straight Track Club. Watkins produit confĂ©rences, articles et livres The Old Straight Track, 1925. Watkins remarque que ces lignes traversent des lieux dont les noms comportent le suffixe ley ou lay, lee, leigh, lea, ly. Cet ancien mot anglo-saxon signifie espace dĂ©gagĂ©, tel que clairiĂšre, prairie ou couloir de dĂ©gagement. C'est pourquoi il les nomme lignes de ley. Plus tard, il abandonne cette terminologie pour le terme piste ancienne rectiligne old straight track. Mais le terme ley a Ă©tĂ© repris tel quel par d'autres et a subsistĂ© dans l'usage. Les jalons des lignes de ley Quand ils dĂ©tectent une ligne de ley, Watkins et ses collaborateurs la remarquent par des Ă©lĂ©ments du paysage physiquement repĂ©rables. Puis en l'examinant plus attentivement sur le terrain, ils trouvent d'autres Ă©lĂ©ments moins visibles, parfois enterrĂ©s. Les jalons de ces lignes sont des Ă©lĂ©ments soit naturels, soit construits de main d'homme lieux liĂ©s Ă  l'eau mares, sources, puits, tumulus, dolmens, menhirs, cromlechs cercles de pierres, cercles et ouvrages de terre, chĂąteaux, Ă©glises, collines de forme particuliĂšre. Pour Watkins, il semblait logique que ces lignes Ă©taient les traces d'anciennes voies de transport existant avant l'occupation romaine. Les sites seraient alors des points de repĂ©rage pour les voyageurs, des points de mire et de halte Ă  travers le paysage, de colline en colline. Sans plus Ă©lĂ©ments, il lui Ă©tait difficile d'imaginer leurs vĂ©ritables fonctions que nous exposerons dans le troisiĂšme article de cette sĂ©rie. Par la suite, ces lieux auraient Ă©tĂ© utilisĂ©s pour y construire des temples et constructions sacrĂ©es. On sait effectivement que les chrĂ©tiens ont construit leurs Ă©glises, les grandes cathĂ©drales et autres sites sacrĂ©s Ă  l'emplacement de cultes anciens prĂ©-existant. Les lignes de ley existaient indĂ©niablement aux temps prĂ©historiques. John Michell et la ligne St-Michel AprĂšs une pĂ©riode de vague oubli de l'existence des lignes de ley, John Michell leur apporte une contribution majeure dans son livre The View Over Atlantis 1969. Il y fait connaitre les observations de Watkins, les resitue dans un contexte plus large qui fait appel aux connaissances anciennes, Ă  l'Ă©nergie, la radiesthĂ©sie, les OVNI, et donne l'impulsion pour d'autres investigations. Il met en Ă©vidence une ligne qui traverse tout le sud de l'Angleterre sur 600 km. Elle dĂ©marre Ă  la pointe sud-ouest, en Cornouailles, au Saint-Michael's Mount, une ile de forme pyramidale situĂ©e dans Mount's Bay. La ligne traverse des sites cĂ©lĂšbres comme Glastonbury et Avebury, et passe par de nombreux bĂątiments religieux dĂ©diĂ©s Ă  St-Michel. C'est pourquoi elle est nommĂ©e la ligne St-Michel. Bien entendu, ce n'est lĂ  qu'un nom relativement rĂ©cent, car elle existait bien avant la christianisation, et son nom Ă©tait ligne Atlas. La ligne St-Michel est orientĂ©e sur le rayon du soleil levant du 8 mai qui est justement la date de la fĂȘte printaniĂšre de St-Michel. Triangles et polygones De nombreuses lignes sont progressivement dĂ©couvertes, et en se croisant et s'entrecroisant, elles forment un tissu gĂ©omĂ©trique. Comme le signalait dĂ©jĂ  en 1939 le Major H. Tyler dans son livre The Geometric arrangement of Ancient Sites, beaucoup de lignes rayonnent Ă  partir d'une intersection commune. Ainsi 8 lignes divergent depuis l'Ă©glise de Wooburn Buckinghamshire. Un triangle rĂ©sultant de l'intersection de 3 lignes, dĂ©limitĂ© par Avebury, Stonehenge et Glastonbury Merci Ă  Alex Whitaker Le tissu gĂ©omĂ©trique est composĂ© de triangles, quadrilatĂšres et autres polygones. Les triangles ont souvent leurs cĂŽtĂ©s Ă©gaux isocĂšles ou Ă©quilatĂ©raux. Sir Norman Lockyer 1836-1920, un astronome royal, remarque que Stonehenge, le chĂąteau de Grovely Grove-ley et Old Sarum Salisbury forment un triangle Ă©quilatĂ©ral de 10 km de cĂŽtĂ©. Dans d'autres cas ce sont des triangles avec un angle droit triangle rectangle. Glastonbury, Stonehenge et Avebury forment un triangle rectangle parfait, qui est orientĂ© approximativement vers le nord. Le cĂŽtĂ© Glastonbury /Avebury est situĂ© sur la ligne St-Michel. Le cĂŽtĂ© Glastonbury /Stonehenge de ce triangle est aussi l'un des cĂŽtĂ©s d'un dĂ©cagone polygone Ă  10 cĂŽtĂ©s mis en Ă©vidence par John Michell. Dans certains cas, des sites sont situĂ©s sur des cercles concentriques autour d'un centre de rayonnement. Dans d'autres endroits, des leys sont parallĂšles sur plusieurs kilomĂštres. Cela pose question sur leur interprĂ©tation en tant que pistes anciennes. OĂč mĂšneraient-elles? Pour Tyler, les alignements Ă©taient prĂ©sents avant les pistes et marquaient une division gĂ©omĂ©trique rectangulaire du terrain. Dans son livre Megalithic Sites in Britain 1967, le professeur Alexander Thom observe Il est remarquable que 1000 ans avant les premiers mathĂ©maticiens de la GrĂšce antique, des gens de ces iles avaient non seulement une connaissance pratique de la gĂ©omĂ©trie et Ă©taient capables de mettre en place des dessins gĂ©omĂ©triques Ă©laborĂ©s, mais savaient aussi installer des ellipses basĂ©es sur les triangles pythagoriciens. Alignements de sites sacrĂ©s dans toute l'Europe Les membres du Straight Track Club de Watkins Ă©taient trĂšs actifs et certains ont recherchĂ© l'existence des lignes de ley dans d'autres pays. Par ailleurs, au mĂȘme moment, dans ces pays mĂȘmes, des investigateurs locaux s'intĂ©ressaient Ă©galement au sujet. Au cours des annĂ©es suivantes et jusqu'Ă  nos jours, plus on recherche ces lignes, plus on y porte attention, et plus on en dĂ©couvre partout en Europe. De plus l'Ă©volution technique a apportĂ© des moyens supplĂ©mentaires de dĂ©tection de ces alignements par des photos aĂ©riennes et encore mieux par des photos satellites qui ont rendu cette tĂąche beaucoup plus facile. En effet, on s'est rendu compte que certaines lignes visibles d'en haut sont difficilement repĂ©rables sur le terrain. Parfois, elles sont signalĂ©es seulement par une couleur diffĂ©rente des vĂ©gĂ©taux, ou soulignĂ©es par des bordures de champ, un chemin de campagne, une route ancienne. Les dĂ©couvertes des Romains Les chroniqueurs romains rapportent qu'au moment de leurs conquĂȘtes, ils ont trouvĂ© des lignes droites dans presque tous les pays en Europe, en CrĂȘte, dans la rĂ©gion de Babylone, et en Afrique du Nord. Ces tracĂ©s existaient donc bien avant eux. Ils ont Ă©galement constatĂ© la prĂ©sence de menhirs alignĂ©s dans la campagne toscane en Italie, une rĂ©gion occupĂ©e par les Étrusques. Les dĂ©pĂątures de Gargantua En marge des alignements eux-mĂȘmes, je signale un folklore peu connu, associĂ© Ă  certains monts et buttes en France, qui fait intervenir le gĂ©ant Gargantua. Certains veulent y voir le besoin de merveilleux des gens, qui imaginent ces histoires pour supporter leur vie dure, mais il se pourrait bien que ce soit aussi une allĂ©gorie pour dire que ces monts sont investis ou l'ont Ă©tĂ© par des forces ou Ă©nergies supĂ©rieures. Gargantua, un peu maladroit parfois Ă  cause de sa taille, se promĂšne un peu partout en France. Quand il parcourt la campagne, de la boue s'attache Ă  ses chaussures, qui deviennent "empĂątĂ©es" et il arrive qu'une masse s'en dĂ©tache. Cette masse, appelĂ©e dĂ©pĂąture ou dĂ©gallochĂ©e, forme une colline ou un mont, dĂ©posĂ© sur la plaine. Ainsi, en Charente, la colline du Pinsonneau, au sud de Baignes Sainte-Radegonde, et la motte de Coiron sont des dĂ©pĂątures oudĂ©gottures de Gargantua. De mĂȘme la butte de Sancerre dans le Cher, le mont Garganet nom issu de Gargantua et le mont Ceix en CorrĂšze. On en trouve dans une bonne partie de la France, surtout la moitiĂ© Nord. D'autres fois, en s'activant, Gargantua renverse sa hotte et son contenu devient des amas de rochers. Ou bien il se dĂ©culotte et dĂ©pose sa crotte. Dans l'Ain, le lac de Nantua a Ă©tĂ© pissĂ© par Gargantua, tandis que le mont qui domine la ville est une catole une crotte qu'il a laissĂ©e lĂ . Dans le Maine-et-Loire, la ville de BouzillĂ© la bien nommĂ©e en est une Ă©galement. Le christianisme a diabolisĂ© Gargantua en rebaptisant en lieux du diable les lieux, gouffres, chaos rocheux, et pierres dressĂ©es nommĂ©s de son nom. À l'opposĂ©, d'autres lieux ont Ă©tĂ© sanctifiĂ©s et consacrĂ©s Ă  l'Archange Saint-Michel, dont beaucoup de Monts Gargan. Ainsi en est-il Ă  Rouen du quartier appelĂ© Mont Gargan. Le Mont Saint-Michel Ă©tait un ancien lieu de culte Ă  Gargantua. La tradition rapporte que Gargantua aurait Ă©tĂ© emportĂ© par Merlin ou Morgane en FĂ©erie l'ile d'Avalon, donc Glastonbury, oĂč il vit toujours. En Allemagne En 1929, Wilhelm Teudt, un prĂȘtre allemand, publie un livre intitulĂ© Germanische HeiligtĂŒmer Sanctuaires germaniques oĂč il rapporte l'existence de lignes sacrĂ©es en Allemagne centrale. Ces lignes relient des sites antiques sur des centaines de kilomĂštres en ligne droite et forment des figures gĂ©omĂ©triques. Toujours Ă  cette Ă©poque, le gĂ©ographe allemand Joseph Heinsch Ă©tait intriguĂ© par la cathĂ©drale de Xanten et par sa mosaĂŻque au sol qui reprĂ©sentait une carte orientĂ©e des Ă©glises de la rĂ©gion. En 1939, dans une confĂ©rence intitulĂ©e Principles of Prehistoric Cult-Geography, il explique que les centres sacrĂ©s Ă©taient situĂ©s sur des figures gĂ©omĂ©triques en lien avec les constellations. Certaines lignes orientĂ©es Ă  l'ouest reliaient des centres dĂ©diĂ©s au culte de la lune Ă  d'autres orientĂ©es Ă  l'est reliaient des centres dĂ©diĂ©s au soleil. Les unitĂ©s de mesure employĂ©es Ă©taient des fractions simples des dimensions terrestres. En France, Xavier Guichard En France aux alentours de 1910, Xavier Guichard 1870 - 1947 Ă©tudie l'origine des noms de lieux toponymes. Il se concentre particuliĂšrement sur le toponyme alesia qui revient de façon rĂ©currente sur tout le territoire français plus de 400 sites. Ses dĂ©ductions sont rapportĂ©es dans son livre Eleusis Alesia, EnquĂȘte sur les origines de la civilisation europĂ©enne 1936. Selon lui, on retrouve le nom alesia sous les formes indo-europĂ©ennes Alaise, AlĂšs, Alis ou Alles. Il signifie point de rencontre, lieu de halte lors des voyages. Il est Ă©tonnant de remarquer la consonance phonĂ©tique entre alaise et ley. Mais Guichard n'avait probablement pas connaissance des travaux de Watkins. AlĂ©sia est apparentĂ© au mot grec Eleusis. Éleusis Ă©tait une ville de GrĂšce situĂ©e Ă  20 kilomĂštres d'AthĂšnes, cĂ©lĂšbre pour son culte consacrĂ© Ă  DĂ©mĂ©ter et Ă  sa fille PersĂ©phone. Dans la religion grecque antique, les mystĂšres d'Éleusis cĂ©lĂ©braient ces dĂ©esses-mĂšres et sont Ă  l'origine des cultes liĂ©s aux vierges noires qui se sont rĂ©pandus en Europe. Ces lieux sont presque systĂ©matiquement associĂ©s Ă  une colline dominant une riviĂšre, Ă  un puits ou Ă  la prĂ©sence de sel. D'aprĂšs Guichard Ces villages ont Ă©tĂ© Ă©tablis dans les temps anciens selon des lignes astronomiques immuables, dĂ©terminĂ©es d'abord dans le ciel, puis transfĂ©rĂ©es sur Terre Ă  intervalles rĂ©guliers, chacun valant un 360e du globe. La carte des toponymes AlĂ©sia, Alaise et leurs dĂ©rivĂ©s en France. Merci Ă  Jean-Claude Bonnot Ils sont placĂ©s le long de lignes nord-sud parallĂšles s'Ă©tendant dans toute l'Europe, Ă©quidistante de 1° d'arc, une valeur que nous retrouverons avec Bruce Cathie deuxiĂšme partie. Cela implique que les constructeurs antiques de ces villages connaissaient les pĂŽles et l'Ă©quateur, les mouvements des astres, le partage du cercle en 360°, la longueur du degrĂ© terrestre, enfin les coordonnĂ©es gĂ©ographiques, longitudes et latitudes. Les lieux sont Ă©galement rĂ©partis sur 24 lignes gĂ©odĂ©siques qui rayonnent Ă  partir d'un centre, Alaise, prĂšs de Besançon. Ce centre serait le centre rituel et mythique de l'Europe pour le culte des vierges noires. La GrĂšce, Jean Richer et l'axe Saint-Michel Apollon Dans les annĂ©es 1950, le français Jean Richer installĂ© en GrĂšce fait des investigations Ă  propos des temples grecs, qu'il publie dans son livre GĂ©ographie sacrĂ©e du monde grec. Il remarque que les temples et les Oracles sont souvent situĂ©s Ă  des emplacements difficilement accessibles, ce qui n'Ă©tait pas compatible avec l'objectif d'une frĂ©quentation populaire. Il se demande donc quelle en est la raison. Il pressent que ces centres Ă©taient reliĂ©s, mais il ne sait pas pourquoi. C'est en rĂȘve qu'il obtient la rĂ©ponse. Une statue d'Apollon lui montre la connexion entre les sanctuaires qui le reprĂ©sentaient Ă  Delphes et AthĂšnes. A Delphes se trouve l'ancien Oracle de la Terre-MĂšre et AthĂšnes abrite le temple de l'Acropole dĂ©diĂ© Ă  AthĂ©na. Une fois rĂ©veillĂ©, il prend une carte, trace la ligne Delphes - AthĂšnes, et constate qu'elle se prolonge sur l'Ăźle de DĂ©los, le lieu de naissance d'Apollon, et au temple d'Apollon de Kamiros sur l'Ăźle de Rhodes. La ligne traverse d'autres sites sacrĂ©s dĂ©diĂ©s Ă  ArtĂ©mis tel que le Temple d'Agra. Un peu plus tard, Lucien Richer, le frĂšre de Jean, poursuit cette recherche, prolonge la ligne vers le nord-ouest et vers le sud-est oĂč il trouve bien d'autres correspondances. Dans un article datĂ© de 1977 intitulĂ© L'axe Saint-Michel Apollon, il dĂ©crit cet alignement qui s'Ă©tend jusqu'Ă  l'extrĂ©mitĂ© de l'Irlande, Ă  l'ile sacrĂ©e de Skellig Michael, traverse de nombreux sites cĂ©lĂšbres dĂ©diĂ©s Ă  St-Michel comme Saint Michael's mount dĂ©jĂ  nommĂ© Ă  la pointe de la Cornouailles en Angleterre; le Mont Saint-Michel en Normandie; La Sacra di San Michele dans les Alpes italiennes et Monte Sant'Angelo dans la pĂ©ninsule italienne Gargano, sanctuaire ancien dĂ©diĂ© Ă  Saint-Michel; le temple d'ArtĂ©mis Ă  Corfou; Delphes; DĂ©los, et se prolonge jusqu'au Mont Carmel en IsraĂ«l, couvrant ainsi une distance d'environ 4000 km. LĂ , il se divise en IsraĂ«l et en Égypte, puis rejoint La Mecque en Arabie Saoudite. Si le nom de Saint-Michel est chrĂ©tien, les sites qui lui sont dĂ©diĂ©s sont d'origine prĂ©-chrĂ©tienne. Ils ont Ă©tĂ© auparavant dĂ©diĂ©s par les druides aux dieux du soleil et aux dĂ©esses-mĂšres de la terre. Puis ils ont Ă©tĂ© absorbĂ©s par les chrĂ©tiens et renommĂ©s. Une ligne droite de l'Irlande Ă  IsraĂ«l traverse des sites consacrĂ©s Ă  Saint-Michel et Apollon Merci Ă  Paul Broadhurst and Hamish Miller Jean Richer dĂ©couvre aussi, par l'examen de monnaies anciennes, que des lignes marquĂ©es par des temples rayonnent de Delphes, DĂ©los et Sardes, et forment la roue d'un zodiaque voir plus loin d'autres exemples de roues zodiacales Evora au Portugal Depuis les annĂ©es 1930, la popularisation du concept d'alignements de sites sacrĂ©s a permis d'attirer l'attention sur ce phĂ©nomĂšne dans d'autres pays et beaucoup d'autres ont Ă©tĂ© repĂ©rĂ©s. Par exemple au Portugal, le double cromlech d'Almendres, dans le complexe d'Evora, est alignĂ© avec deux autres sites anciens sur 50 km le dolmen de Anta Grande dans le site de Zambujeiro; le cromlech de Xuarez de forme rectangulaire prĂšs de Monsaraz. L'azimut de 110° de cette ligne est celle de la pleine lune du printemps. Alignements astronomiques Evora au Portugal, Xanten en Allemagne, Delphes en GrĂšce, la ligne St-Michel anglaise, il devient clair que l'astronomie joue un rĂŽle important dans la conception de certains sites. Plus on cherche Ă  comprendre ces rapports et plus on trouve de liens. On entre lĂ  dans le domaine de l'archĂ©oastronomie. L'archĂ©oastronomie rĂ©sulte de l'association de l'astronomie et de l'archĂ©ologie pour dĂ©terminer les connaissances et les reprĂ©sentations des anciens, Ă  partir des inscriptions qu'ils ont laissĂ©es dans leurs monuments. Elle est nĂ©e dĂšs les annĂ©es 1960 avec des chercheurs de terrain qui en ressentaient l'Ă©vidence. Mais elle Ă©tait rejetĂ©e alors par les universitaires. Cette situation est en train de changer peu Ă  peu alors qu'arrivent Ă  la fois de nouvelles gĂ©nĂ©rations plus ouvertes et de la matiĂšre archĂ©ologique plus abondante pour l'attester. Elle est maintenant reconnue par l'universitĂ© avec prudence, et mĂȘme Ă©tudiĂ©e voir K. GadrĂ©, Culture Diff'. On constate que de nombreux sites archĂ©ologiques prĂ©sentent un ou des axes orientĂ©s dans des directions prĂ©cises. Ces directions sont gĂ©nĂ©ralement en rapport avec le soleil ou la lune. Par exemple avec leur lever au moment de l'Ă©quinoxe ou du solstice ou Ă  une autre date significative. Citons quelques exemples supplĂ©mentaires. En France L'ouverture de la grotte de Lascaux en Dordogne est orientĂ©e face au soleil couchant du solstice d'Ă©tĂ©. Au chĂąteau cathare de MontsĂ©gur, le premier rayon de soleil Ă  l'horizon du solstice d'hiver traverse le chĂąteau dans sa longueur par une petite ouverture. Au solstice d'Ă©tĂ©, il traverse les quatre archĂšres du donjon au nord-ouest avec une prĂ©cision millimĂ©trique. A Carnac, en Bretagne France, l'orientation des alignements de menhirs correspond au soleil levant du solstice d'Ă©tĂ©. Autrement dit, le rayon solaire balaie Ă  cet instant tout l'alignement jusqu'au cromlech Ă  l'extrĂ©mitĂ© sud-ouest. Alignements de menhirs Ă  Carnac en France Merci Ă  Zaza Cercle de Goloring en Allemagne Merci Ă  Martin P. Paulus En Allemagne L'Allemagne est aussi dotĂ©e de centres prĂ©historiques, tels le cercle de Goseck et le cercle de Goloring. Le cercle de Goloring, situĂ© en RhĂ©nanie Palatinat proche de Coblence, a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ© dĂšs 1948 par le Dr. Röder. Il est composĂ© d'un fossĂ© circulaire de 175 mĂštres de diamĂštre, 80 cm de profondeur environ et une largeur maximum de 6 m. Autour se trouve un talus circulaire de 190 m de diamĂštre, 7 m de large et 80 cm de haut. Ses proportions sont similaires Ă  celles de Stonehenge. Dans des Ă©tudes rĂ©centes, le Dr Zack avance que le Goloring est une horloge solaire gĂ©ante. Le cercle de Goseck situĂ© en Saxe-Anhalt a Ă©tĂ© dĂ©couvert en aout 2003 par survol aĂ©rien et Ă©tudiĂ© par Wolfhard Schlosser. Ce ne sont pas ici des constructions en pierre, mais des talus en terre et des palissades de bois qui ont difficilement survĂ©cu au temps. De 75 m de diamĂštre, il comprend 3 cercles concentriques de terre et d'Ă©pieux de bois avec chacun 3 ouvertures qui coĂŻncident avec les levers et couchers du soleil aux solstices d'hiver et d'Ă©tĂ©. On peut le mettre en rapport avec le disque de NĂ©bra trouvĂ© Ă  moins de 30 km de lĂ , et avec le cercle de culture de Grasdorf qui est apparu en 1991 prĂšs de Hildesheim Ă  150 km plus au Nord-Ouest . En Angleterre et en Écosse Au dĂ©but du 19e siĂšcle, N. Lockyer dĂ©jĂ  nommĂ© plus haut repĂšre une ligne d'importance astronomique issue de Stonehenge, longue de 35 km, qui trace la course du lever de soleil de milieu de l'Ă©tĂ©. En 1965, le professeur Gerald Hawkins suggĂšre que les constructeurs de Stonehenge avaient des connaissances astronomiques poussĂ©es. En 1967, un professeur de technologie en retraite, Alexander Thom, publie un livre Megalithic Sites in Britain qui a un retentissement important. Il relate ses mesures sur plus de 500 pierres qu'il a Ă©tudiĂ©es sur le sol Ă©cossais et brittanique. Il Ă©nonce que les monuments mĂ©galithiques tels que que Stonehenge, Avebury, Long Meg, mais aussi bien d'autres de taille plus modeste dont les pierres semblent placĂ©es au hasard, suivent en rĂ©alitĂ© un plan prĂ©cis au milliĂšme, basĂ© sur des figures gĂ©omĂ©triques cercles, ellipses ou autres. La gĂ©omĂ©trie des cercles de pierres dĂ©rive des positions extrĂȘmes du soleil, de la lune et des Ă©toiles au moment de leur lever Ă  l'horizon. Le site du Calanais ou Callanish en Écosse se prĂ©sente comme un vaste champ de pierres levĂ©es. Pour Alexander Thom, ses pierres forment un calendrier basĂ© sur la position de la Lune. Il suggĂšre que l'alignement des pierres, lorsqu'on regarde vers le sud, pointe vers la pleine Lune du milieu de l'Ă©tĂ© derriĂšre une montagne lointaine appelĂ©e Clisham. MĂȘme des Ă©glises, pourtant bĂąties Ă  des Ă©poques plus rĂ©centes, ont des orientations reliĂ©es Ă  l'astronomie. À une certaine date, des rituels avaient lieu pour cĂ©lĂ©brer le courant d'Ă©nergie qui coule selon les lignes qui les traversent, afin de distribuer cette Ă©nergie aux alentours et d'en faire bĂ©nĂ©ficier les rĂ©coltes. Le site de Calanais en Écosse Merci Ă  Wikipedia L'entrĂ©e du tumulus de Newgrange en Irlande au lever du soleil le jour du solstice d'hiver. Merci Ă  NewGrange UNESCO En Irlande Dans les annĂ©es 1980, Martin Brennan voir son livre The Star and the Stones a dĂ©pensĂ© une Ă©nergie incroyable pour faire admettre sa thĂ©orie sur le rapport entre l'orientation des couloirs des tumulus dolmens recouverts de terre et le calendrier solstices, Ă©quinoxes et le jour Ă  mi-temps entre les deux. Par la suite, beaucoup l'ont suivi dans ses dĂ©ductions sur le lien astronomique. Un magnifique exemple est l'entrĂ©e sud de NewGrange, en ligne avec un menhir et un tumulus, et dont le couloir d'entrĂ©e est Ă©clairĂ© au premier rayon du solstice d'hiver. D'autres couloirs sont dans l'axe d'une ligne de ley. En AmĂ©rique latine Teotihuacan est un site archĂ©ologique du Mexique qui Ă©tait un vĂ©ritable ville, structurĂ©e par sa longue "allĂ©e des Morts" rectiligne qui la traverse sur 4 km environ selon un axe presque nord-sud, avec une dĂ©viation de 15° 50' vers l'est. Il s'y trouve de nombreuses pyramides Ă  degrĂ©s, dont au nord la "pyramide de la Lune", et au milieu la "pyramide du Soleil". L'orientation correspond au lever du soleil du 13 aout. Dans son ouvrage Cycles of the Sun, Mysteries of the Moon The Calendar in Mesoamerican Civilization 1987, le Dr. Vincent Malmström fait remarquer que cette date reprĂ©sente le commencement du monde dans la mythologie Maya. Plus au sud, en Bolivie, Ă  proximitĂ© du lac Titicaca, se trouvent les ruines de la ville de Tawanaku. Elle comporte elle aussi des pyramides Ă  degrĂ©s et d'autres monuments tels que la porte du soleil. Son orientation astronomique est prĂ©cise. Toutefois, elle ne peut ĂȘtre comprise selon Posnansky que si elle se rapporte au ciel tel qu'il Ă©tait en 15'000 avant D'autres Ă©lĂ©ments sont en faveur de cette date, par exemple l'existence de quais Ă  une distance du lac actuel qu'il couvrait Ă  l'Ă©poque. Motivations des constructeurs de sites mĂ©galithiques Beaucoup de sites sacrĂ©s ont un lien direct avec l'astronomie. Pourquoi, dans quel but? Comment comprendre cette volontĂ© de construire en rapport avec les astres? Plusieurs thĂ©ories ont Ă©tĂ© avancĂ©es pour deviner les intentions des constructeurs, et certaines semblent largement acceptĂ©es par la communautĂ© scientifique. Les sites seraient des sortes d'observatoires astronomiques dont l'intĂ©rĂȘt serait de repĂ©rer des dates importantes de l'annĂ©e. A partir de lĂ , il y a deux types d'interprĂ©tations sur l'objet de cette importance des objectifs pratiques et des dĂ©votions religieuses. Sur le plan pratique, les dates seraient repĂ©rĂ©es dans le but de planifier les rĂ©coltes et les travaux agricoles en vue de la survie de la population. Ces constructions gigantesques indiqueraient les solstices et les Ă©quinoxes comme une sorte de vaste calendrier en pierre. C'est par exemple l'avis de Zack en ce qui concerne Goloring, et de Schlosser pour Gosek. Mais fournir tous ces efforts pour seulement donner des repĂšres de dates, cela semble insensĂ©. En tout cas, ils dĂ©montrent effectivement que les constructeurs accordaient Ă  leurs constructions une importance capitale. C'est pourquoi d'autres historiens ont imaginĂ© que ces peuples Ă©taient tellement soucieux d'honorer des dieux pour s'attirer leurs faveurs, ou cĂ©lĂ©brer des Ă©vĂ©nements marquants, qu'ils ne comptaient ni leur temps ni leur efforts. Les monuments seraient alors des marques commĂ©moratives d'un Ă©vĂ©nement grandiose, des lieux de cultes solaires ou lunaires Ă  Carnac, selon Mortillet ou servaient Ă  prĂ©dire des Ă©clipses Ă  Stonehenge, selon Hawkins. Mais toutes ces thĂ©ories ne sont que spĂ©culations sans preuves. D'autres explications sont possibles mais ne sont pas envisagĂ©es parce qu'elles impliqueraient d'accepter l'idĂ©e que ces peuples Ă©taient des savants et techniciens plus avancĂ©s que nous sur certains aspects. Or on veut seulement les considĂ©rer comme des gens naĂŻfs et incultes, bien qu'on n'en ait aucune preuve. Une explication bien plus simple et plus logique se rapporte au caractĂšre Ă©nergĂ©tique des alignements . Plans stellaires Les pyramides et leur relation Ă  Orion le Nil et sa relation Ă  la voie lactĂ©e selon Robert Bauval Le MystĂšre du grand Sphinx Le rapport d'un site avec les constellations peut prendre d'autres aspects. Dans certains cas, le complexe mĂ©galithique est bĂąti selon le plan d'une constellation. John Foster Forbes 1889 - 1958, auteur avec Iris Campbell de Giants, Myths and Megaliths, est intriguĂ© par des pierres situĂ©es sur le territoire britannique, qui sont gravĂ©es de cupules. Tandis que certains archĂ©ologues ne voient lĂ  que des rĂ©cipients pour recueillir des liquides lors de rituels, voire mĂȘme du sang, Forbes dĂ©montre que les cupules dessinent le plan de situation de l'ensemble du site et que ce plan reprĂ©sente une constellation. Dans le paysage mĂȘme, le nom des collines et des monts reflĂšte souvent un aspect du soleil, de la lune ou d'une Ă©toile. En Égypte, selon Robert Bauval Le mystĂšre d'Orion, le Nil est par sa forme la reproduction terrestre de la voie lactĂ©e. On retrouve cette correspondance d'espaces gĂ©ographiques avec la voie lactĂ©e dans la vallĂ©e de Tepoztlan au Mexique, la vallĂ©e de Elky au Chili, et dans le chemin de Saint-Jacques de Compostelle en Europe. Au PĂ©rou, la riviĂšre Vilcanota ou Wilcamayu, Huilcamayo, Urubamba dans la vallĂ©e sacrĂ©e de Cuzco Ă©tait Ă©galement considĂ©rĂ©e par les Incas comme la reprĂ©sentation de la voie lactĂ©e. Les espace rituels huacas le long de la vallĂ©e sont les reflets des constellations situĂ©es de part et d'autre de la voie lactĂ©e. Bauval a fait des relevĂ©s dĂ©taillĂ©s des pyramides de Guizeh et Ă  proximitĂ©. Il a montrĂ© que leur disposition Ă©tait identique Ă  celle des Ă©toiles d'Orion. L'un des conduits dans la Grande Pyramide, qui est supposĂ© ĂȘtre une aĂ©ration mais dont on ignore la fonction, pointe vers l'une des Ă©toiles d'Orion. Toutefois, ce pointage n'est strictement rĂ©alisĂ© que si on considĂšre le ciel au moment de sa configuration en 10'500 av. comme Ă  Tiahuanaco. Bauval suppose que c'est l'Ă©poque de construction des pyramides, Ă  l'encontre de l'avis des historiens qui maintiennent leur conviction de 4000 ans d'Ăąge environ pour ces pyramides. Nous verrons que d'autres observations plaident en faveur de la supposition de Bauval. Roues zodiacales dans le paysage En 1929, Kathryn Maltwood crĂ©e un choc avec son livre A Guide to Glastonbury's Temple of the Stars dans lequel elle rapporte les dessins de vastes figures se rĂ©vĂ©lant dans le paysage autour de Glastonbury en Angleterre. Ces figures sont soulignĂ©es par les courbes du paysage, les collines, les routes et les cours d'eau et ne sont visibles que sur une vue aĂ©rienne. Elles reprĂ©sentent les signes du zodiaque et chacune de ces figures est situĂ©e Ă  l'emplacement appropriĂ© correspondant de la roue zodiacale. Elles forment un cercle de plus de 15 km de diamĂštre. Les noms des villages situĂ©s dans un signe zodiacal sont souvent en corrĂ©lation avec ce signe. Par exemple, au Nord de Glastonbury, on trouve Aries Drive route du BĂ©lier dans le signe du BĂ©lier. Pour K. Maltwood, le zodiaque de Glastonbury peut Ă©galement ĂȘtre mis en rapport avec la table ronde du roi Arthur, ses 12 chevaliers, GueniĂšvre et Merlin, car Glastonbury situĂ© dans le signe du verseau est l'Ăźle d'Avalon mythique. Selon K. Maltwood, le paysage autour de Glastonbury est configurĂ© selon un zodiaque. Vue aĂ©rienne. La roue zodiacale inscrite dans la rĂ©gion de Toulouse, selon Doumayrou En fait, Maltwood n'est pas la premiĂšre Ă  rapporter cette observation car cela avait Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© par le Dr Dee aux alentours de 1580. Il avançait que le paysage avait Ă©tĂ© modelĂ© par une population prĂ©historique. Les anthropologues estiment sa construction Ă  au moins 3000 avant d'autres Ă  7000 Glastonbury n'est pas le seul cas de roue zodiacale imprimĂ©e dans le paysage. Jean Richer, en GrĂšce, a mis en Ă©vidence celle de Delphes. Il postule aussi que Milan Italie et TolĂšde Espagne sont des centres zodiacaux. Doumayrou GĂ©ographie sidĂ©rale a montrĂ© qu'il en existait une autour de Toulouse France. Les noms de lieux, les blasons des villes ou des rĂ©gions, sont symboliquement en rapport avec le secteur zodiacal dans lequel ils se trouvent. Selon lui, le nom Toulouse Ă©voque de façon suggestive le grec ThĂČlos, qui dĂ©signait, dans les temps primitifs, la touffe vĂ©gĂ©tale coiffant et liant le sommet des huttes rondes en branchages. Par la suite, le sens s'en est Ă©tendu Ă  la coupole hĂ©misphĂ©rique en pierres sĂšches, et enfin plus particuliĂšrement Ă  la voĂ»te des fours et Ă©tuves. Lignes sacrĂ©es en AmĂ©rique L'AmĂ©rique est Ă©galement riche en lignes de sites anciens, mais elles prennent d'autres formes, liĂ©es aux anciens amĂ©rindiens. Certaines de ces lignes ont Ă©tĂ© observĂ©es par les premiers explorateurs europĂ©ens, puis ont Ă©tĂ© dĂ©truites ou enfouies par les constructions modernes. Les plaines centrales des États-Unis En 1858, William Pidgeon publie un ouvrage intitulĂ© Traditions of the De-Coo-Dah oĂč il rapporte ses conversations avec un chaman et ami amĂ©rindien nommĂ© De-Coo-Dah. Avant les destructions causĂ©es par l'amĂ©nagement agricole, dit-il, les plaines du Midwest Ă©tait parsemĂ©es de gigantesques ouvrages en terre et de buttes. Ces buttes n'Ă©taient pas placĂ©es au hasard, mais situĂ©es en ligne droite sur plusieurs kilomĂštres. L'une d'elles s'Ă©tendait sur une centaine de km, Ă  l'ouest du Mississipi. Les lignes Ă©taient distantes de quelques km entre elles, soulignĂ©es par des bosquets, des sources et des crĂȘtes. Les croisements de lignes Ă©taient marquĂ©s par des ouvrages de terre de structure particuliĂšre dont la forme Ă©tait un ĂȘtre humain ou un groupe d'animaux. Le Nouveau Mexique et les Anciens Pueblos En 1930, des archĂ©ologues dĂ©crivent que des pistes, laissĂ©es par les indiens Miwok, traversent les Sierras californiennes et franchissent collines et vallĂ©es en droite ligne sans zig-zag ni contour. Au Nouveau Mexique, un complexe important de lignes, visible par satellite, se trouve dans le Chaco Canyon. Chaco Canyon a Ă©tĂ© un temps le lieu d'habitation des anciens indiens Anasazis. Le nom Anasazi qu'on leur donne habituellement n'est d'ailleurs pas correct car il provient de la langue Navajo pour dĂ©signer un "ancien ennemi". Les amĂ©rindiens ont demandĂ© de les appeler Anciens Pueblos, car les espagnols de la conquĂȘte ont donnĂ© le nom de Pueblos aux civilisations indiennes qui construisaient des villages. D'abord implantĂ©s sur le plateau, les Anciens Pueblos ont ensuite vĂ©cu dans des habitations troglodytes Ă©difiĂ©es dans des endroits difficiles d'accĂšs. Les habitations sont dotĂ©s de kivas, chambres circulaires souterraines, rĂ©servĂ©es aux cĂ©rĂ©monies, dont le toit plat arrive au niveau du sol. Les anciens pueblos ont abandonnĂ© ces lieux Ă  partir de 1300 sans laisser de traces de ce qu'ils sont devenus. Toutefois des tribus actuelles peuvent se prĂ©tendre leurs descendants, tels les Zuñis et les Hopis. Habitation troglodyte des Anciens Pueblos Ă  Mesa Verde, Colorado avec leurs kivas ClichĂ© © A. Boudet Le complexe de lignes de Chaco Canyon l'Ă©ventail de lignes blanches. Vue par satellite. Couleurs reconstituĂ©es Merci Ă  Dr. James L. Smoot, Tom Sever, Diane Samuelson, NASA Quand les archĂ©ologues ont pu disposer de photos par satellite Ă  la fin du 20e siĂšcle, ils ont dĂ©couvert ce complexe de lignes strictement rectilignes qui rayonnent en faisceau Ă  partir de Chaco Canyon et se prolongent sur plus de 100 km vers l'extĂ©rieur. Larges de 9 m, elles filent droit devant sans tenir compte des difficultĂ©s de relief, alors qu'en comparaison, les routes contournent les obstacles et suivent la topographie. Des marches sont taillĂ©es dans la roche pour traverser les falaises. Sur le terrain, elles sont Ă  peine visibles. Certaines sont taillĂ©es dans la terre et dans la pierre. D'autres ne sont pas apparentes au sol et ce ne sont que les diffĂ©rences de vĂ©gĂ©taux et de rĂ©flexion de la lumiĂšre qui les rendent visibles d'en haut. Elles ne conduisent nulle part, et suivent parfois des orientations astronomiques. Plusieurs douzaines de petits bĂątiments de cĂ©rĂ©monie, les Great Houses, sont disposĂ©s au long de ces lignes et rĂ©parties dans le dĂ©sert. Le Mexique et les Mayas Au sud de Mexico, dans la pĂ©ninsule du Yucatan, on entre dans le domaine des anciens Mayas. Ils y ont tracĂ© de longues routes droites appelĂ©es sacbeob au pluriel; scabĂ© au singulier ou chemins blancs. Elles sont en partie dĂ©truites, mais il en subsiste encore une, longue de 100 km entre Coba et Yaxuna dans le Nord de la pĂ©ninsule. En 1920, Thomas Gann la dĂ©crit ainsi une chaussĂ©e de 10 m de large, surĂ©levĂ©e de 0,5 Ă  2,5 m, construite en blocs de pierres. C'est l'une des routes les plus remarquables jamais construites, aussi droite qu'une flĂšche et presque plate comme une rĂšgle, aussi loin qu'on peut la suivre. Les sacbeob relient des lieux sacrĂ©s et des temples de citĂ©s mayas. Selon les mayas, les sacbeob sont associĂ©s Ă  d'autres voies invisibles, mythiques, qui passent sous terre ou en l'air. Le PĂ©rou et les Incas Les Incas font rĂ©fĂ©rence Ă  des lignes sacrĂ©es qui ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es dans les annĂ©es 1970 par Tony Morrison dans son livre Pathways to the Gods. Les Incas les nomment ceque, mot quĂ©chua qui signifie au sens premier ligne, mais dĂ©signe en rĂ©alitĂ© beaucoup plus que ça. C'est aussi par exemple un pĂšlerinage. Alignements de monuments mĂ©galithiques incas au PĂ©rou. Illustration extraite de "Genesis de la Cultura Andina" par Carlos Milla Villena. Merci Ă  David Hatcher Childress Ces lignes ne sont gĂ©nĂ©ralement pas matĂ©rialisĂ©es, mais elles peuvent avoir Ă©tĂ© reprises comme limites de terrain. Elles sont toutefois soulignĂ©es de constructions sacrĂ©es, les wak'as ou huaca, qui sont comme des bornes placĂ©es sur cette ligne, des stations de vĂ©nĂ©ration. Les huacas sont identifiĂ©es par un rocher, un empilement de pierres, une source, une grotte ou une construction humaine maison, fontaine, canal, palais. Les premiers conquĂ©rants espagnols les ont remarquĂ©es. Un prĂȘtre, BernabĂ© Cobo, en a relatĂ© l'existence, mais l'Ă©glise catholique au 17e siĂšcle a demandĂ© que ces constructions soient dĂ©truites. Comme en Europe, elles ont Ă©tĂ© remplacĂ©es en de nombreux lieux par des Ă©glises. Un complexe de 42 ceques rayonne Ă  partir de la capitale inca Cuzco et son Temple du Soleil. Les lignes sont droites, souvent parallĂšles et passent en ignorant toutes les difficultĂ©s de terrain, comme Ă  Chaco Canyon. Elles se terminent souvent sur le sommet d'une montagne sacrĂ©e. Carlos Milla Villena a mis en Ă©vidence un alignement flagrant qui traverse tout le PĂ©rou depuis l'ancienne citĂ© de Tiahuanaco en Bolivie les monuments mĂ©galithiques de Cuzco; du Machu Picchu; de Vitcos, brĂšve capitale des Incas en exil; Ollantaytampu; et Cajamarca, lieu de capture du roi inca Atahualpa. Le PĂ©rou et les Nazcas Au PĂ©rou, Ă  400 km au sud de Lima dans le dĂ©sert de Nazca, on a dĂ©couvert en 1926 un autre vaste complexe de lignes tracĂ©es au sol sur plus de 500 km2. Elles apparaissent en clair sur un sol couvert de cailloux gris. Le contraste est obtenu simplement en enlevant les cailloux sur le trajet des lignes. Mais qui l'a fait? On ne peut se rendre compte des figures que forment ces lignes que sur des photos aĂ©riennes. Elles sont longues de plusieurs kilomĂštres, franchissent les ravins, escaladent les collines sans que leur forme ni leur rectitude en soient affectĂ©es. Entre les faisceaux de lignes droites, se trouvent des dessins qui figurent surtout des animaux singe, condor, chien, araignĂ©e, baleine, lĂ©zard, serpent, divers oiseaux comme la grue, le pĂ©lican, la mouette, le colibri et le perroquet. En plus des animaux, on trouve des spirales et des ellipses. Les historiens estiment que ces dessins ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s entre 400 et 650 de notre Ăšre par la civilisation Nazca qui s'est dĂ©veloppĂ©e entre 300 et 800, avant les Incas. Ces figures ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es par l'allemande Maria Reiche 1903 - 1998 qui y a consacrĂ© la majeure partie de sa vie. Elle faisait l'hypothĂšse que les gĂ©oglyphes avaient une fonction astronomique, dans le but de prĂ©voir les dates importantes de l'annĂ©e solaire en vue d'une planification agricole. Les lignes de Nazca au PĂ©rou Photo satellite Google earth Les lignes de Sajama en Bolivie Photo satellite de Google Earth, retraitĂ©e par A. Boudet La Bolivie et les lignes de Sajama Comme Ă  Nazca, on trouve sur les hauts-plateaux de Bolivie un rĂ©seau de milliers de lignes droites qui s'entrecroisent. Elles sont situĂ©es Ă  environ 20 km Ă  l'est de la frontiĂšre avec le Chili, en-dessous du plus haut pic de la Bolivie, le volcan Ă©teint Nevado Sajama. Les lignes de Sajama ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es et mises en valeur par une Ă©quipe de l'universitĂ© de Pennsylvanie Cartographic Modeling Lab aux USA. Le terrain couvert environ 22'525 km2 est 15 fois plus Ă©tendu que celui de Nazca. Au sol, les lignes sont Ă  peine contrastĂ©es par le grattage de la terre qui laisse apparaitre un sol plus clair. Leur largeur est de 1 Ă  2 m, et leur longueur peut dĂ©passer 20 km, donc plus que celles de Nazca. Comme les prĂ©cĂ©dentes, elles sont absolument rectilignes, indiffĂ©rentes aux accidents de terrain qu'elles traversent. Sur leur trajet, sont installĂ©s des sanctuaires de diverses sortes, comme en Grande-Bretagne rocher, cairn, source, grotte, tumulus, sommet de colline, borne, arbre sacrĂ©, lieu de cĂ©rĂ©monie. Elles rayonnent souvent Ă  partir d'un centre commun, quelquefois situĂ© dans un endroit d'accĂšs difficile. Selon la tradition locale, ces sanctuaires sont habitĂ©s par des esprits et les rĂ©seaux sont associĂ©s Ă  une race antĂ©rieure de dieux, les Viracochas. Les archĂ©ologues perplexes pensent que ces lignes Ă©taient faites Ă  l'origine pour les pĂšlerinages, et il est probable que les gens y dĂ©ambulaient comme le font par exemple actuellement des moines bouddhistes autour de leur stoupa. Ailleurs en AmĂ©rique du Sud D'autres lignes sont visibles en AmĂ©rique du Sud, sur les images des satellites. Au Costa Rica, les relevĂ©s de la NASA montrent des pistes au travers de la forĂȘt tropicale montagneuse dans la rĂ©gion Arenal. Elles ont les mĂȘmes caractĂ©ristiques de linĂ©aritĂ© sans souci des accidents de terrain. Des lignes isolĂ©es ou en groupe ont Ă©tĂ© repĂ©rĂ©es dans d'autres rĂ©gions des Andes, par exemple dans le dĂ©sert Atacama dans le sud du Chili. La Colombie et les Kogis aujourd'hui Dans le nord de la Colombie, vit une tribu d'indiens, les Kogis. Autrefois installĂ©s dans les vallĂ©es sous le nom de Tayronas, ils ont fui la conquĂȘte espagnole en 1501 et se sont rĂ©fugiĂ©s dans les hautes vallĂ©es de la Sierra de Santa Marta, dans des territoires qui culminent Ă  5775 m d'altitude. Ils y sont environ 12'000, et vivent de l'agriculture et de l'Ă©levage. C'est dans les annĂ©es 1950 qu'ils ont Ă©tĂ© localisĂ©s par l'anthropologue colombien Gerardo Reichel-Dolmatoff, qui a su attirer l'attention sur la richesse de leur civilisation. CoupĂ©s physiquement du monde pendant plusieurs siĂšcles, les Kogis ont Ă©tĂ© prĂ©servĂ©s des influences modernes. Mais un autre ennemi est survenu sous la forme des instabilitĂ©s politiques et administratives de la Colombie. Ils sont victimes d'un gĂ©nocide dĂ» aux conflits entre les paramilitaires et la guĂ©rilla, dans lesquels ils font office de bouc Ă©missaire. Ils ont dĂ» survivre aux pilleurs de tombes et Ă  la dĂ©forestation intensive et subissent des Ă©pandages massifs de pesticides. Éric Julien avec l'association Tchendukua Ɠuvre pour que les Kogis retrouvent les terres de leurs ancĂȘtres. HĂ©ritiers directs des Mayas, ils s'attachent Ă  garder vivantes leurs valeurs traditionnelles et leurs pratiques chamaniques. Ils entretiennent la vie grĂące Ă  leurs rapports avec leur mĂšre-Terre et par leurs cĂ©rĂ©monies. Les mamas, chamans spĂ©cialement entrainĂ©s pendant leur enfance Ă  entrer en communication avec les mondes spirituels l'Aluna, veillent au bien-ĂȘtre de leur peuple. Ils disent que leur montagne est malade et cela leur indique que le monde va mal, car les gens de l'extĂ©rieur sont turbulents et insensĂ©s. Ils les nomment leurs petits frĂšres, et se considĂšrent comme leurs frĂšres ainĂ©s. En 1990, ils ont dĂ©cidĂ© d'envoyer un message aux petits frĂšres portant sur l'Ă©cologie, l'Ă©ducation et la paix. Les citĂ©s Kogis construites selon la culture Tairona sont reliĂ©es entre elles par des voies pavĂ©es et des pistes. Les Kogis disent que certaines de ces voies, rectilignes, sont les traces physiques de voies spirituelles du monde de l'Aluna. Beaucoup d'autres existantes dans l'aluna n'ont pas de correspondance physique. Une pierre spĂ©ciale placĂ©e dans leur village, gravĂ©e de lignes droites entrecroisĂ©es, est la carte de ces voies invisibles. Pour les kogis ce sont des voies sacrĂ©es qui ne vont nulle part, sur lesquelles ils marchent dans un sens puis dans l'autre pour honorer le sacrĂ©. Ils en reçoivent les bienfaits vibratoires et participent de cette façon Ă  l'Ă©quilibre Ă©nergĂ©tique de la Terre. L'Australie et ses AborigĂšnes En Australie, les aborigĂšnes ont un rapport direct avec la Terre, semblable Ă  celui des Kogis et de bien d'autres peuples de la Terre qui ont conservĂ© le sens de l'Ă©quilibre spirituel. Dans l'invisible, ils perçoivent des voies qu'ils nomment turingas. Les formes des collines, des riviĂšres et des rochers sont modelĂ©es par ces lignes. Elles ont Ă©tĂ© conçues par les Ă©lĂ©mentaux ou les dieux du Temps du RĂȘve, un monde invisible Ă  nos yeux, pour donner forme Ă  la Terre. Leur centre sacrĂ© est le roc d'Uluru, aussi connu sous le nom d'Ayers Rock, situĂ© au centre de l'Australie. Il s'Ă©lĂšve Ă  348 mĂštres au-dessus de la plaine. Les aborigĂšnes disent que ces turingas sont revitalisĂ©s Ă  certains moments par des Ă©nergies qui coulent en eux et fertilisent la campagne. Ils les utilisent comme voies de communication de messages tĂ©lĂ©pathiques sur de grandes distances. La Chine et les veines du Dragon Depuis longtemps, les Chinois ont connaissance d'un systĂšme de lignes de courants d'Ă©nergie qui circulent dans et sur la terre, qu'ils nomment les veines du Dragon. Ces courants les ont guidĂ©s pour façonner le paysage selon un art qu'ils nomment le Feng Shui. Des collines et des montagnes ont Ă©tĂ© remodelĂ©es, aplanies. Lorsqu'ils doivent implanter un bĂątiment ou un arbre, ils choisissent l'emplacement en conformitĂ© avec ces lignes et les Ă©lĂ©ments du paysage existants. Par exemple, les maisons ne doivent pas ĂȘtres construites en ligne droite dans le paysage. Flux d'Ă©nergie En suivant les perceptions et connaissances ancestrales des Chinois, des aborigĂšnes australiens, des Kogis, et de bien d'autres, il apparait comme une Ă©vidence que les alignements de sites sacrĂ©s et les rĂ©seaux de lignes sont Ă  l'origine de vĂ©ritables conduits d'Ă©nergie. Les courants sont invisibles dans l'Ă©tat ordinaire de conscience, mais on peut les percevoir dans des Ă©tats de conscience Ă©largie. Nombreux sont les occidentaux qui ont cette perception, en dĂ©pit de leur entourage qui les ridiculise et rejette leur tĂ©moignage. Avec un peu d'entrainement par exemple, les courants d'Ă©nergie peuvent facilement ĂȘtre ressentis Ă  proximitĂ© des menhirs et des cercles de pierre. Dans son livre Needles of Stone 1978, Tom Graves indique que les Ă©nergies sont bien rĂ©elles, car lorsque vous vous tenez Ă  cĂŽtĂ© ou contre la pierre, vous pouvez ĂȘtre repoussĂ©, avoir la sensation d'ĂȘtre saoul, et mĂȘme dans certains cercles de pierres, recevoir un choc Ă©lectrique. Des personnes ressentent des effets bĂ©nĂ©fiques Ă  certains endroits, des sensations de malaise Ă  d'autres. Certaines ont mĂȘme la capacitĂ© de voir ces flux circuler d'un menhir Ă  l'autre et monter en spirale au-dessus des menhirs. Les sensations corporelles peuvent ĂȘtre rendues manifestes par une approche radiesthĂ©sique qui n'est rien d'autre qu'une amplification des rĂ©actions corporelles . En France Louis Merle RadiesthĂ©sie et prĂ©histoire, 1933 a fait Ɠuvre de prĂ©curseur sur les sites de la rĂ©gion de Capdenac Aveyron par cette approche. D'autres radiesthĂ©sistes ont dĂ©couvert que les menhirs sont placĂ©s sur des croisements de lignes de forces souterraines, dues Ă  l'eau ou Ă  des failles gĂ©ologiques. En Angleterre du temps de Watkins, des membres de son Straight Track Club avaient adoptĂ© l'idĂ©e des flux Ă©nergĂ©tiques qui relient les menhirs entre eux. Arthur Lawton Ă©crivait en 1938 que les lignes de ley sont des lignes de circulation de la force cosmique. Les alignements de sites sacrĂ©s en sont la manifestation physique visible. Cette idĂ©e a Ă©tĂ© popularisĂ©e en Angleterre par Dion Fortune dans son roman The goat foot god Le dieu aux pieds de chĂšvre, 1936. Puis dans les annĂ©es 70, c'est le prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© AmĂ©ricaine de RadiesthĂ©sistes, Terry Ross qui s'en fera le porte-parole. Les flux et le terrain En Angleterre dans les annĂ©es 1950, Guy Underwood livre The pattern of the past Ă©tudie par radiesthĂ©sie la configuration des flux Ă©nergĂ©tiques dans les sites sacrĂ©s. Il en dĂ©tecte sous les monuments mĂ©galithiques, dans les collines, les ouvrages en terre, les Ă©glises. Il dĂ©couvre que les structures prĂ©historiques physiques sont la transposition des courants magnĂ©tiques souterrains. Par exemple, les menhirs sont implantĂ©s sur le passage de courants d'eau souterrains ou sur une faille gĂ©ologique. ParallĂšlement ou par la suite, d'autres personnes ont amplifiĂ© ces Ă©tudes, prĂ©cisĂ© les liens entre les courants d'eau, les failles, et les courants d'Ă©nergie et Ă©tendu leurs recherches aux monuments religieux. Ils relient les courants Ă  des influences magnĂ©tiques et Ă©lectriques . Certains remarquent que le bĂ©tail est attirĂ© par les cercles de pierre ou les tumulus. Les oiseaux migrateurs et les fourmis suivent les lignes de courant dans leurs dĂ©placements. Parmi ces pionniers zĂ©lĂ©s, je cite entre autres, en Angleterre, Paul Devereux Spirit Roads Exploring Otherworldly Routes in the Old and New Worlds; aux États-Unis, Terry Ross, Sig Lonegren Spiritual Dowsing; en France, Henry Quiquandon, Georges Prat Architecture invisible. Certaines constructions sacrĂ©es ne sont pas forcĂ©ment positionnĂ©es sur un flux dĂšs l'origine. Il se peut que leur implantation ait modifiĂ©, modelĂ© ou dĂ©terminĂ© la localisation et le dĂ©bit de ces courants, probablement intentionnellement. Une indication en faveur de ceci se trouve Ă  Stonehenge, oĂč des pierres sont tombĂ©es hors de leur position d'origine. Le flux a suivi ces pierres. Flux Ă©nergĂ©tiques autour du menhir de Bidon en ArdĂšche courants d'eau en bleu, failles gĂ©ologiques en mauve et flux sacrĂ©s en orange. En jaune, l'entrĂ©e Ă©nergĂ©tique du menhir. Extrait de Architecture invisible © G. Prat Georges Prat Deux triangles sacrĂ©s selon G. Prat Chartres, pyramide de KhĂ©ops, Arles Chartres, Istamboul, Szczecin Carte Google Earth adaptĂ©e par A. Boudet Configurations gĂ©omĂ©triques des flux Georges Prat, gĂ©obiologue et architecte français, raconte qu'un jour en Ă©tudiant sur un terrain un courant vibratoire d'un niveau Ă©tonnamment Ă©levĂ©, il a constatĂ© que ce courant de 40 cm de largeur se prolongeait dans chaque sens vers deux Ă©glises anciennes et les unissait, et cette dĂ©couverte a Ă©tĂ© Ă  l'origine de sa recherche des flux qui relient les sites sacrĂ©s. En suivant les flux d'Ă©nergie sur tout un territoire, on peut dĂ©couvrir la carte de leur rĂ©seau. Les flux relient d'autres sites sacrĂ©s en ligne droite Ă©glises anciennes, lieux de culte romains, mĂ©galithes, traversent des territoires sans perdre de leur intensitĂ©, parfois sur de trĂšs longues distances, formant toute une toile d'araignĂ©e. Nous retrouvons donc lĂ  sur le plan Ă©nergĂ©tique la confirmation de ce que nous avons dĂ©couvert plus haut avec les alignements gĂ©omĂ©triques. Poursuivant ses recherches, Prat remarque dans cette toile certains triangles sacrĂ©s qui rassemblent trois hauts-lieux de vibration analogue. Ainsi, un de ces triangles est constituĂ© de Chartres, de KhĂ©ops en Égypte, et d'Arles; un autre de Chartres, de KhĂ©ops, et d'Istamboul en Turquie; un troisiĂšme de Chartres, d'Istamboul, et de Szczecin en Pologne. Les vortex Les courants d'Ă©nergie ne s'Ă©coulent pas seulement dans le sens horizontal. Dans la direction verticale, se trouvent des colonnes Ă©nergĂ©tiques nommĂ©es vortex. Certaines personne les voient, d'autres les sentent quand elles sont placĂ©es dedans. Les radiesthĂ©sistes dĂ©tectent facilement les vortex. Ce sont des flux d'Ă©nergie ascendante et descendante, qui circulent en tourbillonnant, des spirales d'Ă©nergie . Les vortex sont gĂ©nĂ©ralement situĂ©s aux intersections de flux horizontaux majeurs. Il en existe d'autres qui sont créés par des Ă©lĂ©ments naturels du paysage volcans, montagnes pyramidales ou coniques, confluents de riviĂšres, chutes d'eau, ou par la prĂ©sence de gisements minĂ©raux volumineux dans le sous-sol. Il en existe aussi qui sont créés par la prĂ©sence d'une construction humaine temple Ă©tablie selon les principes de la gĂ©omĂ©trie sacrĂ©e. Lorsqu'on sĂ©journe un moment au cƓur de ces vortex, et selon leur intensitĂ©, on peut ressentir leur prĂ©sence par des effets spĂ©ciaux sur le corps et l'esprit. Certains nous mettent dans des Ă©tats mentaux Ă©tranges, du genre impression d'ĂȘtre ailleurs, comme en rĂȘve. Ou bien on a des vertiges. Perturbations gravitationnelles Quelques-uns de ces vortex sont cĂ©lĂšbres pour les anomalies de leur champ gravitationnel, comme par exemple le vortex de l'Oregon et le vortex de Marysburgh aux États-Unis. Les anomalies gravitationnelles du vortex de Marysburgh partie est du Lac Ontario - coordonnĂ©es gĂ©odĂ©siques 44° 4' 21'' N, 76° 46' 8'' W ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s scientifiquement par un ingĂ©nieur canadien, Wilbert Smith Project Magnet. Il a mesurĂ© que les colonnes du vortex ont un diamĂštre d'environ 300 m et une hauteur de plusieurs km. Leur localisation est un peu fluctuante. Son projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© quand il est devenu Ă©vident qu'il abordait des sujets trop sensibles que les gouvernements ne veulent pas rĂ©vĂ©ler, tels que des renseignements sur les vols des OVNIs. Selon les rapports des agences de transports et d'assurance Ă©tablis pendant l'Ă©poque des goĂ©lettes et des premiers voyages par bateau Ă  vapeur, les 2/3 des naufrages sur le Lac Ontario se sont produits dans la zone du vortex. On peut citer les naufrages du Quinlanwith en 1883, du Bavaria en 1889, du George A. Marshen 1917, du Star of Suez en 1964. D'autres accidents sont des disparitions pures et simples de bateaux avec leur Ă©quipage, souvent associĂ©e Ă  la prĂ©sence d'un brouillard inhabituel. Ces descriptions font penser Ă  une autre zone cĂ©lĂšbre pour ses naufrages et disparition de bateaux et d'avions, le triangle des Bermudes. De mĂȘme que le triangle des Bermudes, le vortex de Marysburgh prĂ©sente des anomalies magnĂ©tiques et Ă©lectriques. Les boussoles n'indiquent pas de direction fixe. Des OVNIs y sont frĂ©quemment signalĂ©s, y compris des vĂ©hicules sous-marins. Les effets catastrophiques des anomalies magnĂ©tiques et gravitationnelles des vortex n'ont heureusement rien d'obligatoire. D'autres fois, elles produisent des phĂ©nomĂšnes amusants. Dans le vortex situĂ© en Oregon USA - 42° 29' 35'' N, 123° 5' 7'' W, on invite les visiteurs Ă  expĂ©rimenter des anomalies de perception visuelle et de poids. On y perd la notion de taille et on peut se pencher en avant anormalement. Un autre endroit curieux est Coral Castle en Floride USA. Il a Ă©tĂ© créé et habitĂ© un temps par un homme nommĂ© Edward Leedskalnin, architecte et sculpteur nĂ© en 1887 en Lettonie et mort en 1951 en Floride. De petit poids 40 kg environ, il a maniĂ©, dĂ©coupĂ©, dĂ©placĂ©, sculptĂ© des blocs de pierre dont le poids peut atteindre une tonne. En 28 ans, la nuit, seul Ă  l'abri des regards, il a bĂąti une sorte de chĂąteau. Il est possible qu'il ait eu recours Ă  l'antigravitĂ© ou Ă  l'utilisation d'ondes sonores, car il a dĂ©clarĂ© qu'il avait percĂ© le secret de la construction des pyramides Ă©gyptiennes. R. Clark pense que cela a Ă©tĂ© possible parce que Leedskalnin a choisi de s'installer sur un vortex. Le systĂšme de flux de la Terre Rassemblons briĂšvement tout les morceaux du puzzle que nous venons de rĂ©colter concernant les alignements de sites sacrĂ©s. Des courants d'Ă©nergie circulent Ă  travers la terre et l'irriguent comme une toile d'araignĂ©e. Ils semblent de deux sortes. Certains, comme les veines du Dragon, serpentent dans le paysage, souvent liĂ©s Ă  des courants d'eau souterrains ou des failles gĂ©ologiques. D'autres comme les lignes de leys, les flux sacrĂ©s, vont en ligne droite et relient de nombreux sites sacrĂ©s pierres, sources, ouvrages de terre, cromlechs, Ă©glises. Beaucoup de sites sont construits Ă  l'intersection de flux majeurs, y compris des lieux de culte chrĂ©tiens qui ont remplacĂ© d'anciens sites. Des vortex leur donnent une dimension verticale. Les flux existent dans l'invisible, mais sont visibles pour les peuples de la Terre, qui leur accordent une importance telle qu'ils ont modifiĂ© des plans de construction de bĂątiment pour Ă©viter ces routes invisibles. Ils sont Ă©galement perceptibles par des personnes entrainĂ©es, et par radiesthĂ©sie. La somme de travail employĂ©e Ă  l'Ă©dification de certains passages, qui traversent montagnes et prĂ©cipices en conservant la rectitude, et le degrĂ© de prĂ©cision de la construction de grands bĂątiments, dĂ©notent une intention et une haute technologie et nous posent question. Qui a fait cela? Dans quel but? Nous examinerons ces questions dans la troisiĂšme partie. Auparavant, dans la deuxiĂšme partie, nous allons tenter de comprendre l'organisation globale du rĂ©seau de flux magnĂ©tique sur le plan planĂ©taire. ANNEXES La nature physique des lignes de flux L'apport de la radiesthĂ©sie La nature physique des lignes de flux Ă©lectricitĂ© et magnĂ©tisme L'Ă©nergie que l'on ressent sur certains lieux, et que la radiesthĂ©sie met en Ă©vidence, est intrigante et les scientifiques qui s'y intĂ©ressent cherchent Ă  savoir quelle en est la nature physique. Plusieurs Ă©quipes en-dehors des institutions officielles qui l'ignorent se sont attelĂ©es Ă  cette tĂąche. Les rĂ©sultats montrent gĂ©nĂ©ralement des intensitĂ©s magnĂ©tiques plus Ă©levĂ©es que l'entourage, sans que l'on ait pu Ă©tablir de rĂšgle fixe John B. Carlson, Lodestone Compass Chinese or Olmec Primacy? 1975. Il est probable que les variations magnĂ©tiques ne soient qu'un effet secondaire d'un phĂ©nomĂšne plus profond qui reste Ă  prĂ©ciser, probablement de nature Ă©lectrique. MagnĂ©tisme et Ă©lectricitĂ© sont intimement liĂ©s. Le magnĂ©tisme est l'effet environnant de courants Ă©lectriques profonds. Le champ magnĂ©tique terrestre et le champ Ă©lectrique terrestre sont donc modifiĂ©s chaque fois que des courants Ă©lectriques additionnels sont prĂ©sents. Les lignes de ley et les lignes du dragon sont formĂ©s de courants Ă©lectriques qui circulent le long de conducteurs Ă©lectriques naturels dans la terre. L'eau en mouvement cascades, pluie, ressac des vagues, les tensions tectoniques, la friction des roches, l'activitĂ© des volcans, le vent, sont sources de charges Ă©lectriques. Dans la terre, les mĂ©taux fer, or, cuivre, les gisements de cristaux minĂ©raux contenant du quartz - sont Ă©galement des facteurs de production de courants Ă©lectriques. Le gĂ©omagnĂ©tomĂštre est un appareil simple qui mesure la composante verticale du champ magnĂ©tique terrestre alors que la boussole est sensible Ă  la composante horizontale. La valeur ambiante est ordinairement de 50'000 nanoteslas, et on note des variations de 1 Ă  4% dans les flux des failles et des courants d'eau. Dans les lignes de leys, Devereux a menĂ© un programme intitulĂ© Dragon Project Ă  partir de 1977 et pendant une dizaine d'annĂ©es, dans lequel l'Ă©quipe a enregistrĂ© et mesurĂ© ces Ă©nergies par les mĂ©thodes et appareillages de la science moderne, en parallĂšle avec les constatations des radiesthĂ©sistes. Les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© publiĂ©s dans l'ouvrage Places of power Paul Devereux, 1990. Dans un cromlech, avec un Ă©quipement Ă  ultrasons, l'Ă©quipe a mis en Ă©vidence des pulsations inhabituelles, diffĂ©rentes de ce qu'on mesure Ă  l'extĂ©rieur du cercle. Le champ magnĂ©tique y Ă©tait abaissĂ© d'une valeur significative. Dans d'autres cromlechs, elle a remarquĂ© des champs magnĂ©tiques Ă©levĂ©s sur certaines pierres. L'apport de la radiesthĂ©sie La qualitĂ© Ă©nergĂ©tique d'un lieu, en particulier des veines Ă©nergĂ©tiques qui parcourent la terre, est ressentie par de nombreuses personnes au travers des rĂ©actions de leur corps. Toute personne est capable de sentir si une atmosphĂšre est lourde, vivifiante, si elle lui donne une tendance au vertige, etc. Sur un flux d'Ă©nergie, une personne sensible ressent des frissons, des courants de froid ou de chaleur, des picotements, etc. Toutefois, parce que cette sensibilitĂ© n'est pas donnĂ©e Ă  tous, la plupart des investigateurs s'aident de la radiesthĂ©sie. GrĂące Ă  elle, avec un entrainement validĂ© par des tests, on peut dĂ©terminer la localisation d'un flux, sa largeur, sa profondeur, son intensitĂ© vibratoire, et comment tout cela peut varier en fonction du jour, de l'heure, de la saison, ou des positions planĂ©taires. La radiesthĂ©sie a Ă©tĂ© employĂ©e par les Chinois. Les occidentaux, en particulier les Français, l'ont largement utilisĂ©e en s'aidant de baguettes, d'abord sous le nom de rhabdomancie pratique de la baguette pour trouver des sources d'eau ou des trĂ©sors enfouis. C'est l'abbĂ© Bouly 1865-1958 qui inventa le terme radiesthĂ©sie en 1922, composĂ© du latin radius rayonnement et du grec aisthĂȘsis sensibilitĂ©. Actuellement, on s'en sert surtout pour mettre en Ă©vidence des influences Ă©nergĂ©tiques, et on a remplacĂ© la baguette par le pendule et les antennes en L. Mais attention, il faut savoir interprĂ©ter les rĂ©sultats. HabituĂ©s aux instruments scientifiques et Ă  l'idĂ©e de mesures de valeurs absolues reprĂ©sentation d'ailleurs illusoire et discutable, nous devons considĂ©rer que la radiesthĂ©sie est un amplificateur de nos sensations subjectives. Elle rend compte d'un rapport entre ce que nous mesurons et nous. Au fond, c'est d'ailleurs ce qui est le plus important en pratique, Ă  savoir comment nous sommes touchĂ©s, affectĂ©s, transformĂ©s, plus qu'un savoir absolu. Voici ce qu'en dit Sig Lonegren, un radiesthĂ©siste et enseignant rĂ©putĂ©, auteur de l'ouvrage Spiritual dowsing D'abord, il y a le manque total de rĂ©pĂ©tabilitĂ©, qui est si essentiel dans la science. Ensuite, il y a cette question obsĂ©dante que chaque radiesthĂ©siste affronte quand il se met Ă  tester les Ă©nergies terrestres et les sites sacrĂ©s "Pourquoi n'ai-je pas trouvĂ© au mĂȘme endroit que mon professeur?"... La rĂ©ponse est peut-ĂȘtre dans la façon dont chacun emploie la radiesthĂ©sie. Si on l'utilise pour chercher des objets physiques comme trouver un trĂ©sor, c'est un outil physique, alors que si vous l'utilisez dans un espace sacrĂ©, c'est un outil spirituel qui vous accompagne sur votre chemin spirituel. Si vous vous considĂ©rez comme un pĂšlerin sur un chemin spirituel de toute une vie, la radiesthĂ©sie peut vous aider dans votre voyage, sans souci de la voie particuliĂšre que vous avez choisie... Ce que nous trouvons dĂ©pend de notre conscience spirituelle. Charles Richet, prix Nobel en 1913 Nous devons accepter la radiesthĂ©sie comme un fait. Il est inutile de faire des expĂ©riences pour prouver son existence. Elle existe. Ce qu'il faut maintenant, c'est en dĂ©velopper les possibilitĂ©s. AccĂ©der aux autres parties 2. RĂ©seaux Ă©nergĂ©tiques planĂ©taires et polyĂšdres. La Terre est parcourue par un ensemble de flux Ă©nergĂ©tiques organisĂ©s en plusieurs grilles superposĂ©es et connectĂ©es, qui couvrent la terre de leur maillage aux caractĂ©ristiques prĂ©cises. La structure des grilles est sous-tendue par des formes gĂ©omĂ©triques simples, les polyĂšdres rĂ©guliers ou solides de Platon. DĂšs les annĂ©es 1930, plusieurs investigateurs et gĂ©obiologues ont contribuĂ© de façon souvent indĂ©pendante Ă  dĂ©couvrir ces rĂ©seaux. Ils se sont appuyĂ©s sur un faisceau d'indices tels que les anomalies magnĂ©tiques et gĂ©ophysiques, la radiesthĂ©sie et les apparitions d'OVNIs. Les nƓuds de ces rĂ©seaux prĂ©sentent des Ă©nergies telluriques et cosmiques particuliĂšres qui en ont fait des centres de rayonnement religieux, philosophique et artistique des civilisations anciennes. 3. La nouvelle grille planĂ©taire et l'Ă©volution de la conscience. Sur tous les continents, la Terre porte des Ă©difices sacrĂ©s qui sont disposĂ©s sur les mailles d'une vaste grille de flux Ă©nergĂ©tiques. Sur certains Ă©difices, on a relevĂ© des indices qui indiquent qu'ils ont Ă©tĂ© bĂątis par une civilisation techniquement et spirituellement trĂšs avancĂ©e. Les sites sacrĂ©s avaient des fonctions de rĂ©gulation Ă©nergĂ©tique des flux et d'Ă©lĂ©vation de la conscience. AprĂšs un long sommeil, la grille est actuellement rĂ©activĂ©e progressivement jusqu'Ă  sa pleine puissance en 2012. Ce processus entraine des bouleversements terrestres et des modifications dans nos consciences. Nos corps sont progressivement reconnectĂ©s Ă  la grille et sont Ă©galement touchĂ©s. Tout cela a un sens prĂ©cis nous sommes invitĂ©s Ă  devenir pleinement responsables de notre vie et Ă  crĂ©er un nouveau monde en harmonie avec la Terre. En savoir plus Sites sur Internet Les alignements de sites. Article sur WikipĂ©dia. Les lignes de ley, Karma, l'Ă©tude des mystĂšres Les gĂ©oglyphes de Nazca au PĂ©rou les photos; Maria Reiche Les Kogis sur WikipĂ©dia; le site web de l'association Tchendukua et Éric Julien; un reportage des Ă©lĂšves du CollĂšge le Vergeron ville non prĂ©cisĂ©e, accompagnĂ© d'un diaporama La documentation française sur ce sujet est peu abondante. On en trouve beaucoup plus en anglais Ancient wisdom, excellent site trĂšs documentĂ©, par Alex Whitaker. Ley lines; Geometrical alignments; Geodesy; Xavier Guichard; Prehistoric France Sacred sites, magnifiques photos du monde entier Sites sacrĂ©s d'Irlande et de Grande Bretagne Newgrange, le site officiel; Knowth; Callanish ou Callanais, dans un site consacrĂ© aux mĂ©galithes dans le monde Ley lines sur WikipĂ©dia; par Paul Devereux, un pionnier en la matiĂšre; son interview par Jeff Belanger; la SociĂ©tĂ© de ley hunters au Royaume Uni, avec une liste de leys au Royaume Uni et en Europe; l'opinion de Danny Sullivan, Ă©diteur de The Ley Hunter Les vortex de Marysburgh et de l'Oregon. Leurs anomalies magnĂ©tiques et gravitationnelles Diamagnetic Gravity Vortexes, by Richard LeFors Clark. Inclus dans le livre Antigravity and the World Grid, by David Hatcher Childress Les lignes de Nazca au PĂ©rou et sites Incas du PĂ©rou. Article par Alan F. Alford Les lignes de Sajama en Bolivie, Ă©tudiĂ©e par l'universitĂ© de Pennsylvanie; et sur Wikipedia; visibles avec Google Earth 18°16â€ČS, 68°42â€ČW Les Kogis prĂ©sentation et messages par Steve Andrew; Une vidĂ©o en anglais de 54 mn, message d'avertissement des grands frĂšres The elder brothers' warning Dowsing a review of experimental research. George P. Hansen. Journal of the Society for Psychical Research, Vol. 51, No. 792, October 1982, pp. 343-367. Livres GĂ©ographie sacrĂ©e; Paul Devereux. Éditions Vega. Depuis la nuit des temps, les hommes ont vĂ©nĂ©rĂ© des lieux particuliers, sur lesquels ils ont construit des monuments, des temples, des monastĂšres, des Ă©glises. Tous ces lieux, porteurs d'une Ă©nergie particuliĂšre, sont rĂ©putĂ©s apporter la guĂ©rison et ouvrir l'accĂšs au monde spirituel. L'architecture invisible. Georges Prat, Arkhana Vox 2003. L'Architecture cosmique, Arkhana Vox, 1998 GĂ©ographie sacrĂ©e du monde grec. Jean Richer, Guy TrĂ©daniel, Éditions de La Maisnie, 1983 La gĂ©ographie sidĂ©rale. Guy-RenĂ© Doumayrou, Editions Arma Artis Le MystĂšre du grand Sphinx. Robert Bauval et Graham Hancock, ed du Rocher, 1999 L'Ă©quipe de la revue Kadath Ivan Verheyden, Patrick Ferryn, Jacques Gossart, Jean-Claude Mahieu oeuvre avec profondeur depuis les annĂ©es 1970 Ă  l'Ă©tude des mystĂšres en archĂ©ologie. Son intention est de chercher Ă  dĂ©chiffrer l'empreinte que laissĂšrent les premiers civilisateurs, dieux et ancĂȘtres prĂ©sents dans tous les mythes et toutes les traditions afin de remonter Ă  l'origine des civilisations. Carnac, une porte vers l'Inconnu. Pierre MĂ©reaux et Kadath, Ed. Robert Laffont, 1981 En anglais Needles of stone. Tom Graves, ed. Gothic Image, 1986. Disponible en ligne avec des ajouts Spiritual Dowsing. Sig Lonegren, ed. Gothic Image 1986-1996. Disponible en ligne Sacred Earth. Martin Gray, ed Sterling Publishing. Nombreuses et magnifiques photos de l'auteur. The sun and the serpent. Paul Broadhurst et Hamish Miller. DĂ©couverte de la ligne St-Michael dans le sud de l'Angleterre. "Details their quest for a rediscovery of the forces of Nature that create the 'spirit of place'. In former times, the Earth was understood to be a living being whose powers were considered sacred." La ligne Apollon - St-Michael Ă  travers l'Europe est racontĂ©e dans un autre ouvrage des mĂȘmes auteurs, The Dance of the Dragon Texte conforme Ă  la nouvelle orthographe française 1990 11 juin 2011 - Ajout 6 novembre 2011 les vortex Copyright 2011 - Alain Boudet. Tous droits rĂ©servĂ©s - France Tous les documents prĂ©sents sur ce site sont protĂ©gĂ©s par les lois sur les droits d'auteur. Les publications de ce site sont identifiĂ©es par le numĂ©ro international ISSN 2430-5626 Cet article est l'aboutissement d'Ă©tudes, d'investigations, de comprĂ©hensions, de synthĂšse, de rĂ©flexions, de clarifications et de reformulation en langage simple, qui ont demandĂ© une somme importante de travail. Si vous deviez en tirer parti devant un public de lecteurs ou de spectateurs ou pour quoi que ce soit, merci de le citer. . 589 25 691 196 511 362 438 720

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